Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage est de notre actualité, il narre au quotidien la tragédie de ce peuple d'Algérie subissant la plus grande des menaces sur son avenir, et...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Cet ouvrage est de notre actualité, il narre au quotidien la tragédie de ce peuple d'Algérie subissant la plus grande des menaces sur son avenir, et où la vie n'est qu'un sursis. C'est la chronique banale d'une barbarie de chaque instant, avec ses jours et avec ses nuits, c'est la chronique d'une Algérie d'aujourd'hui en chair et en lambeaux. L'angoisse, comme ce terrorisme, est enfantée d'un même monstre : l'intégrisme et la folie meurtrière d'hommes. Alors la réalité devient un cauchemar qui se confond dans une hantise de survie quand le soir le sommeil rôde et que déjà chacun décompte son compte de paix. La vie dans l'horrible présence de la violence heurte à chaque pas et oblige à un retour sur soi-même, sur sa culture, sur ses racines, sur ses ancêtres, et les questions naissent sur la langue à employer pour décrire ce vécu, sur l'arabisation qui a engendré des " analphabètes polyglottes ". Mais l'auteur s'interroge aussi sur le rôle de l'information, du journaliste et le prix à payer pour le courage de dénoncer, de dire ou de taire, d'avertir les nations et les siens de la folie aveugle de certains groupes qui frappent et tuent sans distinction. Edmonde Charles-Roux dans sa préface écrit : "... on ne peut plus douter que le drame de l'Algérie nous concerne tous, nous Français ". Soyons non seulement la sentinelle de la liberté, mais surtout aussi l'alerteur, et rameutons la conscience de chacun de nous. C'est le prix de notre liberté à exister dans une civilisation à dimension humaine.