La nuit quand tu me manques, j'peux rien faire

Par : Naiqian Cao

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  • Nombre de pages326
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-07-013125-9
  • EAN9782070131259
  • Date de parution13/10/2011
  • CollectionBleu de chine
  • ÉditeurGallimard
  • TraducteurFrançoise Bottéro
  • TraducteurJie Fu

Résumé

Cao Naiqian décrit la vie quotidienne, dans les années 1960-1970, au village de Wen, situé dans une région pauvre de la Chine du Nord-Ouest, une terre noire et hostile. L’auteur élabore un puzzle en trente chapitres, racontant chacun un drame familial ou une scène de la vie campagnarde. Les histoires sont indépendantes, mais les destins se croisent. La sexualité et la nourriture, « deux éléments essentiels de la vie humaine » comme le souligne Cao Naiqian, sont les principales préoccupations des villageois.
La sexualité se révèle être profondément liée à une frustration permanente associée à la misère, les garçons qui n’ont pas réussi à réunir une certaine somme d’argent pour la dot ne pourront pas se marier, mais aussi aux contraintes sociales et politiques. On est confronté aux rapports incestueux, à la polyandrie et aux relations extraconjugales, le tout décrit de manière subtile et retenue dans une langue minimaliste, concise, mais imagée et savoureusement enrichie de jurons et d’expressions dialectales.
Ce roman tendre et poétique est à la fois extrêmement sensuel et extrêmement désespéré.
Cao Naiqian décrit la vie quotidienne, dans les années 1960-1970, au village de Wen, situé dans une région pauvre de la Chine du Nord-Ouest, une terre noire et hostile. L’auteur élabore un puzzle en trente chapitres, racontant chacun un drame familial ou une scène de la vie campagnarde. Les histoires sont indépendantes, mais les destins se croisent. La sexualité et la nourriture, « deux éléments essentiels de la vie humaine » comme le souligne Cao Naiqian, sont les principales préoccupations des villageois.
La sexualité se révèle être profondément liée à une frustration permanente associée à la misère, les garçons qui n’ont pas réussi à réunir une certaine somme d’argent pour la dot ne pourront pas se marier, mais aussi aux contraintes sociales et politiques. On est confronté aux rapports incestueux, à la polyandrie et aux relations extraconjugales, le tout décrit de manière subtile et retenue dans une langue minimaliste, concise, mais imagée et savoureusement enrichie de jurons et d’expressions dialectales.
Ce roman tendre et poétique est à la fois extrêmement sensuel et extrêmement désespéré.