La novice

Par : Guido Piovene
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  • Nombre de pages247
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions12,5 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-36308-000-4
  • EAN9782363080004
  • Date de parution11/10/2012
  • CollectionLittérature étrangère
  • ÉditeurArléa
  • TraducteurMichel Arnaud

Résumé

Au moment de prononcer ses voeux perpétuels, une novice, Margharita Passi, écrit à son confesseur le doute qui l’assaille : elle n’est pas sûre d’avoir la vocation. Le confesseur croit bon d’en informer la mère supérieure du couvent, qui elle-même alerte l’évêque dont dépend le prêtre. Commencent alors des correspondances entremêlées où chacun trahit, surveille et abandonne l’autre. Partant d’une histoire classique de couvent où les thèmes de la vocation, de la grâce, du doute et du pardon sont longuement abordés, Piovene s’emploie à pervertir toutes les règles du genre avec une jubilation évidente. Les protagonistes apparaissent comme des monstres d’égoïsme, oisifs et décadents.
Les relations amicales entre la mère et la fille ne sont qu’une façade qui cache une concurrence féminine féroce et une jalousie redoutable. La novice, Margharita, se révèle être une intrigante qui finira par obtenir ce qu’elle veut avec un grand sens de la duplicité, parvenant même à ruiner la vie spirituelle de son confesseur. Piovene nous donne là une oeuvre bien plus dérangeante qu’elle n’y paraît au premier abord.
La Novice, écrit en 1942 est, comme l’a dit Dominique Fernandez, un des meilleurs romans italiens de l’époque. Le livre a été immédiatement salué en Italie comme une réussite exceptionnelle, dans la meilleure tradition du roman épistolaire. La Novice est originellement parue en 1961 aux éditions Denoël.
Au moment de prononcer ses voeux perpétuels, une novice, Margharita Passi, écrit à son confesseur le doute qui l’assaille : elle n’est pas sûre d’avoir la vocation. Le confesseur croit bon d’en informer la mère supérieure du couvent, qui elle-même alerte l’évêque dont dépend le prêtre. Commencent alors des correspondances entremêlées où chacun trahit, surveille et abandonne l’autre. Partant d’une histoire classique de couvent où les thèmes de la vocation, de la grâce, du doute et du pardon sont longuement abordés, Piovene s’emploie à pervertir toutes les règles du genre avec une jubilation évidente. Les protagonistes apparaissent comme des monstres d’égoïsme, oisifs et décadents.
Les relations amicales entre la mère et la fille ne sont qu’une façade qui cache une concurrence féminine féroce et une jalousie redoutable. La novice, Margharita, se révèle être une intrigante qui finira par obtenir ce qu’elle veut avec un grand sens de la duplicité, parvenant même à ruiner la vie spirituelle de son confesseur. Piovene nous donne là une oeuvre bien plus dérangeante qu’elle n’y paraît au premier abord.
La Novice, écrit en 1942 est, comme l’a dit Dominique Fernandez, un des meilleurs romans italiens de l’époque. Le livre a été immédiatement salué en Italie comme une réussite exceptionnelle, dans la meilleure tradition du roman épistolaire. La Novice est originellement parue en 1961 aux éditions Denoël.