La Nouvelle Droite et le nazisme, une histoire sans fin. Révolution conservatrice allemande, national-socialisme et Alt-Right
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions16,6 cm × 23,1 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-38519-016-3
- EAN9782385190163
- Date de parution12/01/2024
- CollectionDocuments
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
Depuis sa fondation, la Nouvelle Droite est accusée d'édulcorer les thèses nazies. Qu'en est-il réellement ? A la lumière des avancées historiographiques sur le nazisme, le constat est sans appel. Si certains membres de la Nouvelle Droite se sont éloignés du national-socialisme, voire ne ressentaient aucune fascination pour celui-ci, d'autres, nombreux en son sein, n'ont jamais rompu les liens avec les idées nazies.
A dire vrai, ils continuent de s'y référer, voire de le reconnaître comme une référence importante. Pire, ils le mettent en avant de plus en plus explicitement. Il ne s'agit pas de clin d'oeil à un nazisme folklorique, citant Hitler ou Himmler, mais d'une adhésion plus profonde, avançant d'autres figures nationales-socialistes moins connues, plus radicales et, surtout, universitaires. L'auteur montre aussi que les théoriciens de la Révolution conservatrice allemande des années 1920, référence supposée plus noble que le nazisme, ne lui étaient pas aussi rétifs.
Au contraire, des liens existaient entre les premiers et les doctrinaires nazis. Pour certains militants de la Nouvelle Droite, le national-socialisme demeure un courant de la Révolution conservatrice allemande. Enfin, l'auteur montre les jeux d'influence réciproque entre la Nouvelle Droite et l'all-right américaine, elle-même admiratrice de la Révolution conservatrice allemande et, évidemment, de certains nazis universitaires.
A dire vrai, ils continuent de s'y référer, voire de le reconnaître comme une référence importante. Pire, ils le mettent en avant de plus en plus explicitement. Il ne s'agit pas de clin d'oeil à un nazisme folklorique, citant Hitler ou Himmler, mais d'une adhésion plus profonde, avançant d'autres figures nationales-socialistes moins connues, plus radicales et, surtout, universitaires. L'auteur montre aussi que les théoriciens de la Révolution conservatrice allemande des années 1920, référence supposée plus noble que le nazisme, ne lui étaient pas aussi rétifs.
Au contraire, des liens existaient entre les premiers et les doctrinaires nazis. Pour certains militants de la Nouvelle Droite, le national-socialisme demeure un courant de la Révolution conservatrice allemande. Enfin, l'auteur montre les jeux d'influence réciproque entre la Nouvelle Droite et l'all-right américaine, elle-même admiratrice de la Révolution conservatrice allemande et, évidemment, de certains nazis universitaires.
Depuis sa fondation, la Nouvelle Droite est accusée d'édulcorer les thèses nazies. Qu'en est-il réellement ? A la lumière des avancées historiographiques sur le nazisme, le constat est sans appel. Si certains membres de la Nouvelle Droite se sont éloignés du national-socialisme, voire ne ressentaient aucune fascination pour celui-ci, d'autres, nombreux en son sein, n'ont jamais rompu les liens avec les idées nazies.
A dire vrai, ils continuent de s'y référer, voire de le reconnaître comme une référence importante. Pire, ils le mettent en avant de plus en plus explicitement. Il ne s'agit pas de clin d'oeil à un nazisme folklorique, citant Hitler ou Himmler, mais d'une adhésion plus profonde, avançant d'autres figures nationales-socialistes moins connues, plus radicales et, surtout, universitaires. L'auteur montre aussi que les théoriciens de la Révolution conservatrice allemande des années 1920, référence supposée plus noble que le nazisme, ne lui étaient pas aussi rétifs.
Au contraire, des liens existaient entre les premiers et les doctrinaires nazis. Pour certains militants de la Nouvelle Droite, le national-socialisme demeure un courant de la Révolution conservatrice allemande. Enfin, l'auteur montre les jeux d'influence réciproque entre la Nouvelle Droite et l'all-right américaine, elle-même admiratrice de la Révolution conservatrice allemande et, évidemment, de certains nazis universitaires.
A dire vrai, ils continuent de s'y référer, voire de le reconnaître comme une référence importante. Pire, ils le mettent en avant de plus en plus explicitement. Il ne s'agit pas de clin d'oeil à un nazisme folklorique, citant Hitler ou Himmler, mais d'une adhésion plus profonde, avançant d'autres figures nationales-socialistes moins connues, plus radicales et, surtout, universitaires. L'auteur montre aussi que les théoriciens de la Révolution conservatrice allemande des années 1920, référence supposée plus noble que le nazisme, ne lui étaient pas aussi rétifs.
Au contraire, des liens existaient entre les premiers et les doctrinaires nazis. Pour certains militants de la Nouvelle Droite, le national-socialisme demeure un courant de la Révolution conservatrice allemande. Enfin, l'auteur montre les jeux d'influence réciproque entre la Nouvelle Droite et l'all-right américaine, elle-même admiratrice de la Révolution conservatrice allemande et, évidemment, de certains nazis universitaires.