Depuis les travaux fondateurs de William Labov sur le récit oral, la narration n'a pas cessé d'intéresser chercheurs et chercheuses en sociolinguistique, en analyse des interactions et en anthropologie linguistique. Si dans les années 1970, ces domaines se sont focalisés sur les structures formelles et interactionnelles du récit, on assiste depuis quelques années à l'émergence d'un nouveau modèle qui tient compte à la fois des formes linguistiques, des formats interactionnels et des configurations multimodales de la narration.
Inscrit dans le programme "Sociétés de la narration, narrations de la société" (2018-2022) du Crem, l'ouvrage fait le bilan des perspectives ouvertes par une approche holistique et multidimensionnelle de la narration. Plus particulièrement, il revient sur ses dimensions discursives (orales et écrites), interactionnelles et multimodales, observant ses modes d'émergence, de reformulation et de stabilisation dans les pratiques sociales et identitaires.
Depuis les travaux fondateurs de William Labov sur le récit oral, la narration n'a pas cessé d'intéresser chercheurs et chercheuses en sociolinguistique, en analyse des interactions et en anthropologie linguistique. Si dans les années 1970, ces domaines se sont focalisés sur les structures formelles et interactionnelles du récit, on assiste depuis quelques années à l'émergence d'un nouveau modèle qui tient compte à la fois des formes linguistiques, des formats interactionnels et des configurations multimodales de la narration.
Inscrit dans le programme "Sociétés de la narration, narrations de la société" (2018-2022) du Crem, l'ouvrage fait le bilan des perspectives ouvertes par une approche holistique et multidimensionnelle de la narration. Plus particulièrement, il revient sur ses dimensions discursives (orales et écrites), interactionnelles et multimodales, observant ses modes d'émergence, de reformulation et de stabilisation dans les pratiques sociales et identitaires.