Nous sommes bien loin de la musique aux effets thérapeutiques dans le thriller « La musique des ténèbres » d’Eric Bonny. Elle devient au contraire une arme redoutable que certains chercheurs peu scrupuleux ont décidé d’utiliser. C’est donc une course contre la montre qui s’amorce pour Thomas Cazan, jeune journaliste audacieux, quand il apprend la mort suspecte de son ami Lucien Bonnerive, éminent professeur. Le capitaine de police Bennoun, vient en effet de le contacter car le message laissé par le défunt à son attention est pour le moins troublant. Indéniablement ce message
codé est une invitation à enquêter de façon rapide afin d’éviter la catastrophe, mais quelle catastrophe?
Dans le même temps, un autre chercheur, Bruno Lecomte, meurt de façon aussi mystérieuse. Les dernières paroles susurrées à l’oreille de sa fille Agnès sont très énigmatiques « Détruis le chant de la sorcière ou ils vont tous mourir ». Thomas et Agnès vont, par hasard, se retrouver et la situation épineuse de laquelle ils s’extirpent va les inciter à allier leurs forces pour dénouer les fils de mystères aux racines communes. Les découvertes qu’ils vont faire ne vont pas manquer de les surprendre. Le rythme est endiablé et l'envie de connaître le dénouement incite encore à accélérer la lecture, à suivre les protagonistes dans leur quête de vérité pour stopper le massacre.
Eric Bony nous livre une fiction palpitante mais elle l'est encore plus quand on sait qu'elle prend sa source dans la réalité. L'auteur dénonce les scandales sanitaires et le comportement uniquement mercantile de certains laboratoires pharmaceutiques. Quand la vie d'un être humain est moins importante que les profits générés par une expérimentation, quand la cupidité de l'homme le conduit à nier l'existence même, comment ne pas s'en émouvoir?
Sylvie LAVAINE
RECOMMANDÉ PAR CULTURE-CHRONIQUE
Nous sommes bien loin de la musique aux effets thérapeutiques dans le thriller « La musique des ténèbres » d’Eric Bonny. Elle devient au contraire une arme redoutable que certains chercheurs peu scrupuleux ont décidé d’utiliser. C’est donc une course contre la montre qui s’amorce pour Thomas Cazan, jeune journaliste audacieux, quand il apprend la mort suspecte de son ami Lucien Bonnerive, éminent professeur. Le capitaine de police Bennoun, vient en effet de le contacter car le message laissé par le défunt à son attention est pour le moins troublant. Indéniablement ce message codé est une invitation à enquêter de façon rapide afin d’éviter la catastrophe, mais quelle catastrophe?
Dans le même temps, un autre chercheur, Bruno Lecomte, meurt de façon aussi mystérieuse. Les dernières paroles susurrées à l’oreille de sa fille Agnès sont très énigmatiques « Détruis le chant de la sorcière ou ils vont tous mourir ». Thomas et Agnès vont, par hasard, se retrouver et la situation épineuse de laquelle ils s’extirpent va les inciter à allier leurs forces pour dénouer les fils de mystères aux racines communes. Les découvertes qu’ils vont faire ne vont pas manquer de les surprendre. Le rythme est endiablé et l'envie de connaître le dénouement incite encore à accélérer la lecture, à suivre les protagonistes dans leur quête de vérité pour stopper le massacre.
Eric Bony nous livre une fiction palpitante mais elle l'est encore plus quand on sait qu'elle prend sa source dans la réalité. L'auteur dénonce les scandales sanitaires et le comportement uniquement mercantile de certains laboratoires pharmaceutiques. Quand la vie d'un être humain est moins importante que les profits générés par une expérimentation, quand la cupidité de l'homme le conduit à nier l'existence même, comment ne pas s'en émouvoir?
Sylvie LAVAINE