La musique à Paris sous l'Occupation

Par : Myriam Chimènes, Yannick Simon

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages254
  • PrésentationBroché
  • Poids0.502 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,6 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-213-67721-7
  • EAN9782213677217
  • Date de parution20/11/2013
  • ÉditeurCoédition Cité de la musique/Fay...
  • PréfacierHenry Rousso

Résumé

Sous l'Occupation, Paris ne reste pas silencieux. Peu après l'installation des Allemands, les musiciens reprennent leurs activités comme l'ensemble des artistes. Les salles de concerts et les studios radiophoniques et d'enregistrement se remettent à fonctionner. Dans ce contexte, nombre d'interprètes et de compositeurs français bénéficient de conditions de travail inédites, profitant de l'absence de concurrence étrangère conjuguée à la mise à l'écart des oeuvres des compositeurs, morts ou vivants, exclus par les lois scélérates.
Centré sur la musique savante, cet ouvrage collectif traite de la diffusion de la musique, grâce à des études sur quelques sociétés de concerts spécifiques à cette période, sur des oeuvres du répertoire, sur la création contemporaine et sur le rôle de certains interprètes. Il met en évidence les personnalités de Francis Poulenc, Olivier Messiaen et Arthur Honegger ainsi que d'Alfred Cortot, Germaine Lubin, Charles Munch et Wilhelm Kempff, en insistant sur les ambiguïtés entretenues rétroactivement par certains acteurs de la vie musicale sur leur carrière pendant les années noires.
Il analyse également la manière dont quelques grandes figures du passé (Mozart, Berlioz, Wagner) sont susceptibles de s'inscrire dans un discours de propagande, largement véhiculé par les critiques et les musicologues. Cette réflexion sur la trace mémorielle d'une époque se clôt par l'évocation de deux débats récents, qui montrent que ce passé passe difficilement.
Sous l'Occupation, Paris ne reste pas silencieux. Peu après l'installation des Allemands, les musiciens reprennent leurs activités comme l'ensemble des artistes. Les salles de concerts et les studios radiophoniques et d'enregistrement se remettent à fonctionner. Dans ce contexte, nombre d'interprètes et de compositeurs français bénéficient de conditions de travail inédites, profitant de l'absence de concurrence étrangère conjuguée à la mise à l'écart des oeuvres des compositeurs, morts ou vivants, exclus par les lois scélérates.
Centré sur la musique savante, cet ouvrage collectif traite de la diffusion de la musique, grâce à des études sur quelques sociétés de concerts spécifiques à cette période, sur des oeuvres du répertoire, sur la création contemporaine et sur le rôle de certains interprètes. Il met en évidence les personnalités de Francis Poulenc, Olivier Messiaen et Arthur Honegger ainsi que d'Alfred Cortot, Germaine Lubin, Charles Munch et Wilhelm Kempff, en insistant sur les ambiguïtés entretenues rétroactivement par certains acteurs de la vie musicale sur leur carrière pendant les années noires.
Il analyse également la manière dont quelques grandes figures du passé (Mozart, Berlioz, Wagner) sont susceptibles de s'inscrire dans un discours de propagande, largement véhiculé par les critiques et les musicologues. Cette réflexion sur la trace mémorielle d'une époque se clôt par l'évocation de deux débats récents, qui montrent que ce passé passe difficilement.
Mes Scandales
Gabriel Astruc
26,00 €
Journal 1894-1927
Marguerite de Saint-Marceaux, Myriam Chimènes
50,80 €
Regards sur Debussy
Myriam Chimènes, Alexandra Laederich
40,00 €