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La mort comme dernier passage
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.22 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-19394-6
- EAN9782343193946
- Date de parution07/04/2020
- CollectionRituels de passage
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce premier numéro inaugure la collection par le tabou de la mort, le dernier des passages. Universellement reconnue, la mort est un argument difficile à prononcer, difficile à traiter, difficile à vivre, même si personne ne peut douter de son existence... Nous avons choisi cette thématique pour dissiper un tabou et pour essayer d'élargir les horizons au-delà de l'étroite combinaison vie-mort, mort-vie.
On sait que l'orientation de la culture occidentale, basée sur des pensées dichotomiques et séparatrices (début-fin, esprit- corps, etc.), a toujours été d'éviter d'y penser, de n'en prononcer jamais le mot, de déplacer ses effets et sa présence, renforçant ainsi le sens d'un homme omnipotent.
On sait que l'orientation de la culture occidentale, basée sur des pensées dichotomiques et séparatrices (début-fin, esprit- corps, etc.), a toujours été d'éviter d'y penser, de n'en prononcer jamais le mot, de déplacer ses effets et sa présence, renforçant ainsi le sens d'un homme omnipotent.
Ce premier numéro inaugure la collection par le tabou de la mort, le dernier des passages. Universellement reconnue, la mort est un argument difficile à prononcer, difficile à traiter, difficile à vivre, même si personne ne peut douter de son existence... Nous avons choisi cette thématique pour dissiper un tabou et pour essayer d'élargir les horizons au-delà de l'étroite combinaison vie-mort, mort-vie.
On sait que l'orientation de la culture occidentale, basée sur des pensées dichotomiques et séparatrices (début-fin, esprit- corps, etc.), a toujours été d'éviter d'y penser, de n'en prononcer jamais le mot, de déplacer ses effets et sa présence, renforçant ainsi le sens d'un homme omnipotent.
On sait que l'orientation de la culture occidentale, basée sur des pensées dichotomiques et séparatrices (début-fin, esprit- corps, etc.), a toujours été d'éviter d'y penser, de n'en prononcer jamais le mot, de déplacer ses effets et sa présence, renforçant ainsi le sens d'un homme omnipotent.
