En cours de chargement...
La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d'âge mûr à l'apparition d'un gracieux adolescent d'une extraordinaire beauté.
Dans Tristan, le dilemme qui s'offre à l'héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d'artiste ou " mourir de musique ".
La fin de Lobgott Piepsam dans le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d'une constante lâcheté.
C'est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, le plus célèbre écrivain allemand de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers d'un sarcasme.
Mort du lecteur
Vers 1910, lors de vacances à Venise, un écrivain allemand vieillissant se prend de passion pour un jeune adolescent à la beauté d’un ange. Refusant de quitter la ville malgré une épidémie de choléra, il meurt.
La Mort à Venise est truffé d’allusions philosophiques expliquées en de longues notes de bas de page. Comme je ne peux pas m’empêcher de les lire, elles ont entrecoupé une lecture qui n’était déjà pas facile, sans pour autant éclaircir grand-chose.
Franchement ennuyeux.