La mondialisation est-elle une fatalité ?. Actes du 5e colloque subsidiariste de l'Alliance sociale, 4 mars 2006
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- Nombre de pages93
- PrésentationBroché
- Poids0.14 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-916727-04-2
- EAN9782916727042
- Date de parution01/03/2007
- CollectionLes cahiers de l'as de trèfle
- ÉditeurVia Romana
Résumé
La mondialisation marchande est souvent présentée comme le résultat inéluctable de l'évolution des techniques. L'humanité trouverait son achèvement dans l'individu absorbé dans un système d'économie planétaire. Le marché unique uniformise cultures, traditions, modes de vie, habitat et nourriture... marché planifié par les organismes mondiaux : OMC, FMI, FAO... Il est aisé d'en constater les méfaits : financiérisation, concurrence illimitée, perte des emplois, atteintes à l'environnement, à la qualité de l'alimentation, déracinement, abolition des frontières et des Etats, délocalisations, paupérisation... L'homme est dépassé par des techniques qu'il ne maîtrise plus. La doctrine sociale chrétienne offre pourtant une alternative, où le Bien Commun se substitue à l'individualisme grégaire et instaure une économie à la mesure de l'homme. Pour sortir de l'alternance infernale entre le libéralisme et le socialisme, ce 5e colloque subsidiariste de l'Alliance Sociale (4 mars 2006) aborde la question des métiers, branches professionnelles, organisations industrielles et commerciales, ententes, émissions monétaires, et de l'agriculture, pour une démocratie respectueuse des communautés naturelles : famille, métier, université, province, nation...
La mondialisation marchande est souvent présentée comme le résultat inéluctable de l'évolution des techniques. L'humanité trouverait son achèvement dans l'individu absorbé dans un système d'économie planétaire. Le marché unique uniformise cultures, traditions, modes de vie, habitat et nourriture... marché planifié par les organismes mondiaux : OMC, FMI, FAO... Il est aisé d'en constater les méfaits : financiérisation, concurrence illimitée, perte des emplois, atteintes à l'environnement, à la qualité de l'alimentation, déracinement, abolition des frontières et des Etats, délocalisations, paupérisation... L'homme est dépassé par des techniques qu'il ne maîtrise plus. La doctrine sociale chrétienne offre pourtant une alternative, où le Bien Commun se substitue à l'individualisme grégaire et instaure une économie à la mesure de l'homme. Pour sortir de l'alternance infernale entre le libéralisme et le socialisme, ce 5e colloque subsidiariste de l'Alliance Sociale (4 mars 2006) aborde la question des métiers, branches professionnelles, organisations industrielles et commerciales, ententes, émissions monétaires, et de l'agriculture, pour une démocratie respectueuse des communautés naturelles : famille, métier, université, province, nation...