La mode en 1830. Langage et société : écrits de jeunesse
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- Nombre de pages419
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.644 kg
- Dimensions15,1 cm × 21,7 cm × 3,1 cm
- ISBN2-13-050488-4
- EAN9782130504887
- Date de parution04/02/2000
- CollectionFormes sémiotiques
- ÉditeurPUF
Résumé
Jusqu'à une date récente, ces Œuvres de jeunesse d'A. J. Greimas, et tout particulièrement les deux thèses encore inédites, La mode en 1830 et Quelques reflets de la vie sociale en 1830, auraient pu paraître des travaux de lexicologie historique bien éloignés des recherches contemporaines. Aujourd'hui, ils affichent une étonnante convergence avec ce qui constitue la pointe avancée des travaux sémiotiques européens, à savoir les résultats de la sémiotique des passions et toutes les études qui en ont découlé en ce qui concerne le goût, la perception, la sensibilité, et leur sémantique.
La publication de ces thèses a requis un lourd travail d'établissement du texte (Françoise Ravaux-Kirkpatrick, Thomas Broden) ainsi qu'un effort de présentation résultant des regards croisés de deux chercheurs, situés dans des espaces-temps complémentaires. Michel Arrivé, dans sa Préface, expose cri toute rigueur le point de vue théorique et épistémologique des sémioticiens d'aujourd'hui, sur les premiers travaux du fondateur de l'École de Paris. Thomas Broden adopte, au contraire, dans son Introduction, un point de vue encyclopédique, centré sur les aspects historiques et sociaux de ces premiers écrits sémio-linguistiques de l'auteur de Sémantique structurale.
Ce Greimas avant Greimas, limpide et sensuel, surprendra le spécialiste aussi bien que le lecteur cultivé. La mode en 1830 et Quelques reflets de la vie sociale en 1830 se lisent comme des romans et proposent une étrange anamnèse des formes de sensualité qui avaient cours, à Paris, à l'époque romantique.
Jusqu'à une date récente, ces Œuvres de jeunesse d'A. J. Greimas, et tout particulièrement les deux thèses encore inédites, La mode en 1830 et Quelques reflets de la vie sociale en 1830, auraient pu paraître des travaux de lexicologie historique bien éloignés des recherches contemporaines. Aujourd'hui, ils affichent une étonnante convergence avec ce qui constitue la pointe avancée des travaux sémiotiques européens, à savoir les résultats de la sémiotique des passions et toutes les études qui en ont découlé en ce qui concerne le goût, la perception, la sensibilité, et leur sémantique.
La publication de ces thèses a requis un lourd travail d'établissement du texte (Françoise Ravaux-Kirkpatrick, Thomas Broden) ainsi qu'un effort de présentation résultant des regards croisés de deux chercheurs, situés dans des espaces-temps complémentaires. Michel Arrivé, dans sa Préface, expose cri toute rigueur le point de vue théorique et épistémologique des sémioticiens d'aujourd'hui, sur les premiers travaux du fondateur de l'École de Paris. Thomas Broden adopte, au contraire, dans son Introduction, un point de vue encyclopédique, centré sur les aspects historiques et sociaux de ces premiers écrits sémio-linguistiques de l'auteur de Sémantique structurale.
Ce Greimas avant Greimas, limpide et sensuel, surprendra le spécialiste aussi bien que le lecteur cultivé. La mode en 1830 et Quelques reflets de la vie sociale en 1830 se lisent comme des romans et proposent une étrange anamnèse des formes de sensualité qui avaient cours, à Paris, à l'époque romantique.