La mémoire enchaînée. Questions sur l'esclavage

Par : Françoise Vergès

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  • Nombre de pages203
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-01-279357-6
  • EAN9782012793576
  • Date de parution07/05/2008
  • CollectionPluriel
  • ÉditeurHachette Littératures

Résumé

Les controverses en France sur la traite négrière te l'esclavage suscitent deux questions : pourquoi le débat public est-il si tardif ? pourquoi revêt-il un caractère si extrême ? Françoise Vergès suggère que la lenteur qui a présidé à cette prise de conscience peut être analysée comme le point aveugle de la pensée française. Elle revient sur les conditions et les causes de l'oubli, pour imaginer les conditions de son dépassement, sans céder à ceux qui veulent faire de la mémoire de la traite et de l'esclavage une rente de situation ou à ceux qui tentent de l'utiliser pour justifier des dérives populistes.
Le débat montre que la majorité des descendants d'esclaves ne veulent plus être esclaves de l'esclavage qui fut imposé à leurs ancêtres. Ils refusent d'être enfermés dans le passé, mais sont convaincus que, sans un examen de l'héritage, ce passé restera un passif, une assignation à résidence.
Les controverses en France sur la traite négrière te l'esclavage suscitent deux questions : pourquoi le débat public est-il si tardif ? pourquoi revêt-il un caractère si extrême ? Françoise Vergès suggère que la lenteur qui a présidé à cette prise de conscience peut être analysée comme le point aveugle de la pensée française. Elle revient sur les conditions et les causes de l'oubli, pour imaginer les conditions de son dépassement, sans céder à ceux qui veulent faire de la mémoire de la traite et de l'esclavage une rente de situation ou à ceux qui tentent de l'utiliser pour justifier des dérives populistes.
Le débat montre que la majorité des descendants d'esclaves ne veulent plus être esclaves de l'esclavage qui fut imposé à leurs ancêtres. Ils refusent d'être enfermés dans le passé, mais sont convaincus que, sans un examen de l'héritage, ce passé restera un passif, une assignation à résidence.
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