La Mélancolie de Zidane
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- Nombre de pages17
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.03 kg
- Dimensions10,0 cm × 18,0 cm × 0,5 cm
- ISBN2-7073-1999-6
- EAN9782707319999
- Date de parution09/11/2006
- ÉditeurMinuit (Les Editions de)
Résumé
" "Zidane regardait le ciel de Berlin sans penser à rien, un ciel blanc nuancé de nuages gris aux reflets bleutés, un de ces ciels de vent immenses et changeants de la peinture flamande, Zidane regardait le ciel de Berlin au-dessus du stade olympique le soir du 9 juillet 2006, et il éprouvait avec une intensité poignante le sentiment d'être là, simplement là, dans le stade olympique de Berlin, à ce moment précis du temps, le soir de la finale de la Coupe du monde de football".
Ainsi s'ouvre La Mélancolie de Zidane, bref texte décisif de Jean-Philippe Toussaint, comme on parle d'une passe décisive. Pas un roman - 12 pages -, pas une opinion ou un commentaire de plus sur ce qui s'est passé ce soir-là à Berlin, mais un geste littéraire, sobre et assuré, pour évoquer un autre geste, coup de tête qui a fait couler tant d'encre noire de la mélancolie. " (Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles)
Ainsi s'ouvre La Mélancolie de Zidane, bref texte décisif de Jean-Philippe Toussaint, comme on parle d'une passe décisive. Pas un roman - 12 pages -, pas une opinion ou un commentaire de plus sur ce qui s'est passé ce soir-là à Berlin, mais un geste littéraire, sobre et assuré, pour évoquer un autre geste, coup de tête qui a fait couler tant d'encre noire de la mélancolie. " (Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles)
" "Zidane regardait le ciel de Berlin sans penser à rien, un ciel blanc nuancé de nuages gris aux reflets bleutés, un de ces ciels de vent immenses et changeants de la peinture flamande, Zidane regardait le ciel de Berlin au-dessus du stade olympique le soir du 9 juillet 2006, et il éprouvait avec une intensité poignante le sentiment d'être là, simplement là, dans le stade olympique de Berlin, à ce moment précis du temps, le soir de la finale de la Coupe du monde de football".
Ainsi s'ouvre La Mélancolie de Zidane, bref texte décisif de Jean-Philippe Toussaint, comme on parle d'une passe décisive. Pas un roman - 12 pages -, pas une opinion ou un commentaire de plus sur ce qui s'est passé ce soir-là à Berlin, mais un geste littéraire, sobre et assuré, pour évoquer un autre geste, coup de tête qui a fait couler tant d'encre noire de la mélancolie. " (Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles)
Ainsi s'ouvre La Mélancolie de Zidane, bref texte décisif de Jean-Philippe Toussaint, comme on parle d'une passe décisive. Pas un roman - 12 pages -, pas une opinion ou un commentaire de plus sur ce qui s'est passé ce soir-là à Berlin, mais un geste littéraire, sobre et assuré, pour évoquer un autre geste, coup de tête qui a fait couler tant d'encre noire de la mélancolie. " (Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles)