La Méduse : les dessous d'un naufrage. Les survivants témoignent

Par : Dominique Le Brun
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  • Nombre de pages367
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.55 kg
  • Dimensions16,0 cm × 21,0 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-258-15182-6
  • EAN9782258151826
  • Date de parution20/09/2018
  • ÉditeurPresses de la Cité

Résumé

2 juillet 1816. A la suite d'une erreur de navigation grossière, la frégate Méduse s'échoue près de la cöte mauritanienne, avec à son bord 400 personnes - civils, officiers, hommes de troupe et le futur administrateur du Sénégal. Afin d'alléger le navire, on construit un radeau, pour les canons et la cargaison. Mais ce sont 147 militaires qui s'y entassent car on manque de canots et de chaloupes. Faute impardonnable : le commandant, qui n'a pas dirigé d'équipage depuis vingt-cinq ans et a délégué la navigation à un hâbleur incompétent, abandonne son bâtiment et vogue jusqu'à Saint-Louis.
D'autres embarcations se retrouvent, elles, à de longs jours de marche. Sur le radeau, c'est la déroute. Massacres, noyades, anthropophagie... on ne compte que 15 rescapés. Les cinq témoignages de survivants réunis ici pour la première fois démontrent que, dans une France au bord de la guerre civile, ce sont des choix très politiques qui sont à l'origine de l'accident et de la suite terrible des événements.
2 juillet 1816. A la suite d'une erreur de navigation grossière, la frégate Méduse s'échoue près de la cöte mauritanienne, avec à son bord 400 personnes - civils, officiers, hommes de troupe et le futur administrateur du Sénégal. Afin d'alléger le navire, on construit un radeau, pour les canons et la cargaison. Mais ce sont 147 militaires qui s'y entassent car on manque de canots et de chaloupes. Faute impardonnable : le commandant, qui n'a pas dirigé d'équipage depuis vingt-cinq ans et a délégué la navigation à un hâbleur incompétent, abandonne son bâtiment et vogue jusqu'à Saint-Louis.
D'autres embarcations se retrouvent, elles, à de longs jours de marche. Sur le radeau, c'est la déroute. Massacres, noyades, anthropophagie... on ne compte que 15 rescapés. Les cinq témoignages de survivants réunis ici pour la première fois démontrent que, dans une France au bord de la guerre civile, ce sont des choix très politiques qui sont à l'origine de l'accident et de la suite terrible des événements.