La matière arthurienne tardive en Europe (1270-1530)
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- Nombre de pages1294
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.64 kg
- Dimensions16,8 cm × 22,8 cm × 5,6 cm
- ISBN978-2-7535-7778-7
- EAN9782753577787
- Date de parution08/10/2020
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
En France, la matière arthurienne connaît une vogue particulièrement forte au XIIe et XIIIe siècle et semble ensuite décliner. C'est ce déclin que ce volume se propose d'étudier, en embrassant les années 1270-1530. Vers 1270, c'en est fini de la production de grands cycles arthuriens français ; vers 1530, on cesse d'imprimer les romans arthuriens médiévaux en France. Cet ouvrage réévalue la production arthurienne française, mais surtout la situe dans son environnement européen.
La vitalité de la mode arthurienne varie selon les espaces ; elle dépasse cependant presque partout le médiumlittéraire et concerne aussi les pratiques chevaleresques ou les arts. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée, afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Fruit de la collaboration d'une équipe internationale de 73 chercheurs, ce livre met en lumière la diversité des formes que prend la mode arthurienne à la croisée du Moyen Age et de la Renaissance. Il montre comment cette matière a contribué à constituer en Europe un imaginaire commun, bien au-delà de l'aristocratie. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Avec le soutien de l'Institut universitaire de France.
La vitalité de la mode arthurienne varie selon les espaces ; elle dépasse cependant presque partout le médiumlittéraire et concerne aussi les pratiques chevaleresques ou les arts. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée, afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Fruit de la collaboration d'une équipe internationale de 73 chercheurs, ce livre met en lumière la diversité des formes que prend la mode arthurienne à la croisée du Moyen Age et de la Renaissance. Il montre comment cette matière a contribué à constituer en Europe un imaginaire commun, bien au-delà de l'aristocratie. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Avec le soutien de l'Institut universitaire de France.
En France, la matière arthurienne connaît une vogue particulièrement forte au XIIe et XIIIe siècle et semble ensuite décliner. C'est ce déclin que ce volume se propose d'étudier, en embrassant les années 1270-1530. Vers 1270, c'en est fini de la production de grands cycles arthuriens français ; vers 1530, on cesse d'imprimer les romans arthuriens médiévaux en France. Cet ouvrage réévalue la production arthurienne française, mais surtout la situe dans son environnement européen.
La vitalité de la mode arthurienne varie selon les espaces ; elle dépasse cependant presque partout le médiumlittéraire et concerne aussi les pratiques chevaleresques ou les arts. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée, afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Fruit de la collaboration d'une équipe internationale de 73 chercheurs, ce livre met en lumière la diversité des formes que prend la mode arthurienne à la croisée du Moyen Age et de la Renaissance. Il montre comment cette matière a contribué à constituer en Europe un imaginaire commun, bien au-delà de l'aristocratie. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Avec le soutien de l'Institut universitaire de France.
La vitalité de la mode arthurienne varie selon les espaces ; elle dépasse cependant presque partout le médiumlittéraire et concerne aussi les pratiques chevaleresques ou les arts. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée, afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Fruit de la collaboration d'une équipe internationale de 73 chercheurs, ce livre met en lumière la diversité des formes que prend la mode arthurienne à la croisée du Moyen Age et de la Renaissance. Il montre comment cette matière a contribué à constituer en Europe un imaginaire commun, bien au-delà de l'aristocratie. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée afin de mettre en évidence les rythmes propres à chaque espace et les dynamiques d'échanges entre les aires.
Avec le soutien de l'Institut universitaire de France.