La Mano Negra. Anarchisme rural, sociétés clandestines et répression en Andalousie (1870-1888)

Par : Clara Eugenia Lida

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages126
  • PrésentationBroché
  • Poids0.154 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-915830-48-4
  • EAN9782915830484
  • Date de parution23/09/2011
  • CollectionDans le feu de l'action
  • ÉditeurL'Echappée
  • Traducteur Donato

Résumé

Sociétés secrètes et anarchisme rural en Andalousie (1870-1888). 1878, la révolte s'étend à toute la campagne de l'Andalousie occidentale : les fermes et les oliveraies sont incendiées, le bétail massacré, les vignes arrachées, les boulangeries pillées, les maisons de maîtres occupées... A l'origine de ces actions, la FRE (fédération régionale espagnole), section ibérique de l'AIT (Association internationale des travailleurs) compte alors plus de 30 000 affiliés dans cette région.
En 1883, toute une série de délits est attribuée à une organisation secrète appelée Mano negra, dans les provinces andalouses de Séville et Cadix. Accusés de vouloir renverser le gouvernement et éliminer l'aristocratie des grands propriétaires terriens en recourrant aux moyens les plus extrêmes et les plus violents comme "le fer, le feu et la calomnie", une répression féroce s'abat sur les militants paysans et internationalistes.
Ce livre raconte les prémisses du mouvement anarchiste à la fin du XIXe siècle en Espagne et le rôle essentiel joué par les mouvements paysans. Il décrit aussi une manipulation de l'Etat, qui, appuyé par l'oligarchie andalouse et la presse, n'hésite pas à utiliser tortures, agents provocateurs, arrestations massives et terreur pour criminaliser un mouvement de révolte. Sept ouvriers agricoles accusés d'appartenir à la Mano Negra sont garrottés en juin 1884.
Cette exécution suscite l'effroi dans toute l'Europe et marquera profondément le mouvement libertaire espagnol.
Sociétés secrètes et anarchisme rural en Andalousie (1870-1888). 1878, la révolte s'étend à toute la campagne de l'Andalousie occidentale : les fermes et les oliveraies sont incendiées, le bétail massacré, les vignes arrachées, les boulangeries pillées, les maisons de maîtres occupées... A l'origine de ces actions, la FRE (fédération régionale espagnole), section ibérique de l'AIT (Association internationale des travailleurs) compte alors plus de 30 000 affiliés dans cette région.
En 1883, toute une série de délits est attribuée à une organisation secrète appelée Mano negra, dans les provinces andalouses de Séville et Cadix. Accusés de vouloir renverser le gouvernement et éliminer l'aristocratie des grands propriétaires terriens en recourrant aux moyens les plus extrêmes et les plus violents comme "le fer, le feu et la calomnie", une répression féroce s'abat sur les militants paysans et internationalistes.
Ce livre raconte les prémisses du mouvement anarchiste à la fin du XIXe siècle en Espagne et le rôle essentiel joué par les mouvements paysans. Il décrit aussi une manipulation de l'Etat, qui, appuyé par l'oligarchie andalouse et la presse, n'hésite pas à utiliser tortures, agents provocateurs, arrestations massives et terreur pour criminaliser un mouvement de révolte. Sept ouvriers agricoles accusés d'appartenir à la Mano Negra sont garrottés en juin 1884.
Cette exécution suscite l'effroi dans toute l'Europe et marquera profondément le mouvement libertaire espagnol.