La malicieuse revanche d'un souffre-douleur

Par : Serge Farnel

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  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.354 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-86374-366-9
  • EAN9782863743669
  • Date de parution06/09/2017
  • ÉditeurMazarine (Editions)

Résumé

Souvenez-vous ! La rentrée des classes est un choc : on découvre, la peur au ventre, de nouveaux professeurs qui exercent (plus ou moins) leur autorité, on essaie avec maladresse de se faire de nouveaux copains et, souvent pour la première fois, on a le coeur qui bat la chamade. Au collège, dans la cour de récréation, entre brimades, racisme et harcèlement, c'est aussi la guerre des boutons. Les clans s'affrontent, et tous les coups sont permis.
Arthur, douze ans, cherche à trouver sa place tout en évitant de trop se faire remarquer. Aucune envie d'être pris comme souffre-douleur. Car il en faut toujours un : dans sa classe, c'est Thierry. Mais, pour séduire Giovanna qu'il n'ose aborder, Arthur n'a d'autre choix que de se faire remarquer. Périlleuse équation ! Alors, quand le proviseur décide de lancer La Gazette du collège, tous les espoirs sont permis.
Thierry a choisi son camp : pour échapper à la cruauté des autres, rien de tel que de l'exercer. Et si les têtes de Turc formaient leur propre bande ? Cette histoire est celle d'un enfant sensible qui cherche juste à grandir et se prend, comme nous à l'époque, le monde des adultes de plein fouet. Un roman plein d'humour et de tendresse. Un ticket pour l'enfance.
Souvenez-vous ! La rentrée des classes est un choc : on découvre, la peur au ventre, de nouveaux professeurs qui exercent (plus ou moins) leur autorité, on essaie avec maladresse de se faire de nouveaux copains et, souvent pour la première fois, on a le coeur qui bat la chamade. Au collège, dans la cour de récréation, entre brimades, racisme et harcèlement, c'est aussi la guerre des boutons. Les clans s'affrontent, et tous les coups sont permis.
Arthur, douze ans, cherche à trouver sa place tout en évitant de trop se faire remarquer. Aucune envie d'être pris comme souffre-douleur. Car il en faut toujours un : dans sa classe, c'est Thierry. Mais, pour séduire Giovanna qu'il n'ose aborder, Arthur n'a d'autre choix que de se faire remarquer. Périlleuse équation ! Alors, quand le proviseur décide de lancer La Gazette du collège, tous les espoirs sont permis.
Thierry a choisi son camp : pour échapper à la cruauté des autres, rien de tel que de l'exercer. Et si les têtes de Turc formaient leur propre bande ? Cette histoire est celle d'un enfant sensible qui cherche juste à grandir et se prend, comme nous à l'époque, le monde des adultes de plein fouet. Un roman plein d'humour et de tendresse. Un ticket pour l'enfance.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 4 notes dont 4 avis lecteurs
Admirable
Je referme ce livre et je suis encore sous le coup de cette relation entre Arthur et Giovanna. Surtout de tout ce que tente Arthur pour la séduire. Trop mignon ! Je trouve la fin sublime. Elle nous fait replonger dans ce que nous étions à cet âge. En tout cas, moi, je m’y suis retrouvé. Serge Farnel parvient admirablement à restituer les pensées des pré-ados, leurs non-dits. C’est très fort et très rare.
Je referme ce livre et je suis encore sous le coup de cette relation entre Arthur et Giovanna. Surtout de tout ce que tente Arthur pour la séduire. Trop mignon ! Je trouve la fin sublime. Elle nous fait replonger dans ce que nous étions à cet âge. En tout cas, moi, je m’y suis retrouvé. Serge Farnel parvient admirablement à restituer les pensées des pré-ados, leurs non-dits. C’est très fort et très rare.
Livre malin
Très bon livre. Plein de rebondissements ! C’est Arthur qui nous raconte l’histoire. Arthur est un collégien de douze ans, très attachant. Par exemple dans sa façon de découvrir des concepts tels que l’empathie ! Et avec ses mots bien à lui, ce qui rend l’explication particulièrement savoureuse : « Thierry savait très bien ce qu’il faisait en ayant mis Georges et Mathieu, du jour au lendemain, au pilori de notre classe. Sûr qu’il n’avait pas dû tenter une plongée en empathie dans le dedans de leur tête, à Georges et à Mathieu. Ou plutôt sa plongée en empathie, c’était pour mieux ressentir ce qui aurait pu leur faire le plus de mal. De la mauvaise empathie que c’était. De la mauvaise empathie comme de la mauvaise graisse. » Il y a pleins de trouvailles comme celle-ci dans ce livre. C’est vrai qu’on a tendance à penser que l’empathie est liée au bien que l’on peut faire en se mettant à la place d’autrui. Or l’empathie n’est que la capacité de se mettre à la place de quelqu’un, sans se positionner plus avant. En fait, et je le confesse : je confondais « empathie » et « sympathie ». Je ne sais pas si nous sommes beaucoup à faire cette confusion. Serge Farnel nous rappelle donc à sa façon ce qu’est l’empathie. Et sa façon, c’est l’humour et le sens. Ce roman est jalonné de ce tandem humour/sens. Un roman que je conseille vraiment. Aussi pour l’idée de Thierry afin de se sortir de sa situation de souffre-douleur. « La malicieuse revanche d’un souffre-douleur » est un titre tout à fait adapté à la « malice » de Thierry. Je n’en dis pas plus…
Très bon livre. Plein de rebondissements ! C’est Arthur qui nous raconte l’histoire. Arthur est un collégien de douze ans, très attachant. Par exemple dans sa façon de découvrir des concepts tels que l’empathie ! Et avec ses mots bien à lui, ce qui rend l’explication particulièrement savoureuse : « Thierry savait très bien ce qu’il faisait en ayant mis Georges et Mathieu, du jour au lendemain, au pilori de notre classe. Sûr qu’il n’avait pas dû tenter une plongée en empathie dans le dedans de leur tête, à Georges et à Mathieu. Ou plutôt sa plongée en empathie, c’était pour mieux ressentir ce qui aurait pu leur faire le plus de mal. De la mauvaise empathie que c’était. De la mauvaise empathie comme de la mauvaise graisse. » Il y a pleins de trouvailles comme celle-ci dans ce livre. C’est vrai qu’on a tendance à penser que l’empathie est liée au bien que l’on peut faire en se mettant à la place d’autrui. Or l’empathie n’est que la capacité de se mettre à la place de quelqu’un, sans se positionner plus avant. En fait, et je le confesse : je confondais « empathie » et « sympathie ». Je ne sais pas si nous sommes beaucoup à faire cette confusion. Serge Farnel nous rappelle donc à sa façon ce qu’est l’empathie. Et sa façon, c’est l’humour et le sens. Ce roman est jalonné de ce tandem humour/sens. Un roman que je conseille vraiment. Aussi pour l’idée de Thierry afin de se sortir de sa situation de souffre-douleur. « La malicieuse revanche d’un souffre-douleur » est un titre tout à fait adapté à la « malice » de Thierry. Je n’en dis pas plus…
Beaucoup de tendresse
Ce roman est plein de tendresse. L'histoire est dure parfois, mais si drôle en fait. J'aime beaucoup la voix d'Arthur, le narrateur, un enfant de douze ans, qui parle avec son style bien à lui, ses petits tics de langage. Il est très attachant. Et très intelligent. Il nous fait revisiter notre enfance, mais surtout nous offre un miroir dans lequel nous regarder, nous, les adultes. Car cette histoire parle de nous à travers cette société d'enfants. A lire !
Ce roman est plein de tendresse. L'histoire est dure parfois, mais si drôle en fait. J'aime beaucoup la voix d'Arthur, le narrateur, un enfant de douze ans, qui parle avec son style bien à lui, ses petits tics de langage. Il est très attachant. Et très intelligent. Il nous fait revisiter notre enfance, mais surtout nous offre un miroir dans lequel nous regarder, nous, les adultes. Car cette histoire parle de nous à travers cette société d'enfants. A lire !