Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En Chine aussi, la toux frappait, elle affectait les gens du peuple et les fonctionnaires du palais impérial. Quelle conception de ce symptôme avaient...
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Résumé
En Chine aussi, la toux frappait, elle affectait les gens du peuple et les fonctionnaires du palais impérial. Quelle conception de ce symptôme avaient les érudits de la médecine dans la Chine médiévale ? En quoi celle-ci participait d'un système de conceptions de la maladie ? Quelles réponses thérapeutiques étaient proposées ? Ce sont ces questions qui sont à l'origine de La Maladie dans la Chine médiévale, ouvrage élaboré par des historiens de la médecine en Asie, se proposant de rendre leur dimension historique aux pratiques et aux conceptions de la médecine chinoise traditionnelle.
Cette étude est fondée sur l'analyse de très nombreux textes formant le corpus classique de référence de toute la tradition médicale. Elle comprend la traduction de plus de cent trente formules de pharmacopée qui étaient préconisées contre la toux au VIIIe siècle. Celles-ci, souvent composées de plantes toxiques comme l'aconit ne sauraient être utilisées telles quelles à l'heure actuelle ; elles doivent servir de document à l'historien de la médecine et illustrer la cohésion qui existait à cette époque entre conception de la maladie, démarche diagnostique et procédé thérapeutique.
Sommaire
Conception de la maladie dans la Chine médiévale : exemple de la toux