La maison dans la montagne
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- Nombre de pages444
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.79 kg
- Dimensions17,2 cm × 22,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-912771-61-2
- EAN9782912771612
- Date de parution19/11/2013
- CollectionLettres d'Italie
- ÉditeurConférence
- IllustrateurPierre-Yves Gabioud
- TraducteurChristophe Carraud
- PréfacierEmilio Bodrero
Résumé
Angelina Lanza Damiani (1879-1936), poétesse et pronatrice d'une vie intense et secrète, compte parmi les plus grandes voix de la Sicile du XXe siècle ; son exigence d'élégance et de discrétion, fondée sur une quête spirituelle profonde, s'associe dans ce livre à une délicatesse de perception et de description comme soyeuse. "C'est ici le récit de tout un long été passé à des époques différentes dans une maison de la montagne sicilienne", écrit Emilio Bodrero, "de la fin d'un printemps au début d'un hiver.
On arrive au petit village à dos de mulet, et pourtant tout un vaste monde, physique et moral, est renfermé dans ce peu d'horizon. Le paysage, avec sa vie, ses joies et ses tragédies, est décrit avec une sagesse si sobre et incisive que la plus parfaite évidence nous en est donnée. Les événements qui s'y déroulent sont racontés avec l'ampleur et la richesse d'une synthèse, sans la moindre présence indiscrète de l'auteur.
Mais surtout, les types qui peuplent ce pays sont modelés comme les protagonistes d'un bas-relief grandiose : figures sculpturales d'une vie profonde, tout comme l'incendie d'une forêt, la fête d'un village, le sort des arbres - autant de drames où vibre une passion intense retenue par le sentiment presque immobile d'une donnée primitive. Chacun des trente chapitres de ce livre est une oeuvre d'art qui semble ne pas appartenir à la littérature en prose, mais à la peinture ou à la sculpture, à la musique ou à la poésie tout ensemble.
On arrive au petit village à dos de mulet, et pourtant tout un vaste monde, physique et moral, est renfermé dans ce peu d'horizon. Le paysage, avec sa vie, ses joies et ses tragédies, est décrit avec une sagesse si sobre et incisive que la plus parfaite évidence nous en est donnée. Les événements qui s'y déroulent sont racontés avec l'ampleur et la richesse d'une synthèse, sans la moindre présence indiscrète de l'auteur.
Mais surtout, les types qui peuplent ce pays sont modelés comme les protagonistes d'un bas-relief grandiose : figures sculpturales d'une vie profonde, tout comme l'incendie d'une forêt, la fête d'un village, le sort des arbres - autant de drames où vibre une passion intense retenue par le sentiment presque immobile d'une donnée primitive. Chacun des trente chapitres de ce livre est une oeuvre d'art qui semble ne pas appartenir à la littérature en prose, mais à la peinture ou à la sculpture, à la musique ou à la poésie tout ensemble.
Angelina Lanza Damiani (1879-1936), poétesse et pronatrice d'une vie intense et secrète, compte parmi les plus grandes voix de la Sicile du XXe siècle ; son exigence d'élégance et de discrétion, fondée sur une quête spirituelle profonde, s'associe dans ce livre à une délicatesse de perception et de description comme soyeuse. "C'est ici le récit de tout un long été passé à des époques différentes dans une maison de la montagne sicilienne", écrit Emilio Bodrero, "de la fin d'un printemps au début d'un hiver.
On arrive au petit village à dos de mulet, et pourtant tout un vaste monde, physique et moral, est renfermé dans ce peu d'horizon. Le paysage, avec sa vie, ses joies et ses tragédies, est décrit avec une sagesse si sobre et incisive que la plus parfaite évidence nous en est donnée. Les événements qui s'y déroulent sont racontés avec l'ampleur et la richesse d'une synthèse, sans la moindre présence indiscrète de l'auteur.
Mais surtout, les types qui peuplent ce pays sont modelés comme les protagonistes d'un bas-relief grandiose : figures sculpturales d'une vie profonde, tout comme l'incendie d'une forêt, la fête d'un village, le sort des arbres - autant de drames où vibre une passion intense retenue par le sentiment presque immobile d'une donnée primitive. Chacun des trente chapitres de ce livre est une oeuvre d'art qui semble ne pas appartenir à la littérature en prose, mais à la peinture ou à la sculpture, à la musique ou à la poésie tout ensemble.
On arrive au petit village à dos de mulet, et pourtant tout un vaste monde, physique et moral, est renfermé dans ce peu d'horizon. Le paysage, avec sa vie, ses joies et ses tragédies, est décrit avec une sagesse si sobre et incisive que la plus parfaite évidence nous en est donnée. Les événements qui s'y déroulent sont racontés avec l'ampleur et la richesse d'une synthèse, sans la moindre présence indiscrète de l'auteur.
Mais surtout, les types qui peuplent ce pays sont modelés comme les protagonistes d'un bas-relief grandiose : figures sculpturales d'une vie profonde, tout comme l'incendie d'une forêt, la fête d'un village, le sort des arbres - autant de drames où vibre une passion intense retenue par le sentiment presque immobile d'une donnée primitive. Chacun des trente chapitres de ce livre est une oeuvre d'art qui semble ne pas appartenir à la littérature en prose, mais à la peinture ou à la sculpture, à la musique ou à la poésie tout ensemble.