La Main à la pâte

Par : Maria Orsini Natale
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  • Nombre de pages381
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-85940-988-2
  • EAN9782859409883
  • Date de parution16/04/2004
  • ÉditeurPhébus (Editions)
  • TraducteurMaria Franchini

Résumé

L'une s'appelle Francesca, l'autre Nunziata : deux femmes issues du petit peuple de la région de Naples, deux générations (entre 1848 et 1940) au service du " bel art " de la pasta napoletana, ce régal des connaisseurs de toute la péninsule. Francesca a appris de son grand-père meunier les secrets du métier. Elle développera le petit atelier artisanal jusqu'à en faire une entreprise florissante, puis transmettra le meilleur de son savoir à Nunziata, une orpheline qu'elle a élevée parmi ses neuf enfants à la suite d'un vœu.
Cette dernière finira par s'installer à son compte et par rivaliser avec ses anciens bienfaiteurs... dont elle rachètera la " villa u orgueilleusement installée sur les pentes du Vésuve. Mais les deux femmes ne se bornent pas à s'affronter (tandis que les hommes de la famille font de leur mieux pour dilapider le bien patiemment amassé), elles savent s'estimer, se secourir quand il le faut - en tout cas faire front quand tout conspire à ruiner leur grand rêve... Maria Orsini Natale sait mettre au service de son récit une érudition qui fait merveille, mais cela n'a jamais suffi à produire un bon livre.
Elle parvient aussi et surtout à ressusciter la sensualité d'un art de vivre confié pour l'essentiel au bon génie des femmes. Voir ce Naples-là ne donne pas spécialement envie de mourir : plutôt envie de vivre-et de mordre l'existence à belles dents.
L'une s'appelle Francesca, l'autre Nunziata : deux femmes issues du petit peuple de la région de Naples, deux générations (entre 1848 et 1940) au service du " bel art " de la pasta napoletana, ce régal des connaisseurs de toute la péninsule. Francesca a appris de son grand-père meunier les secrets du métier. Elle développera le petit atelier artisanal jusqu'à en faire une entreprise florissante, puis transmettra le meilleur de son savoir à Nunziata, une orpheline qu'elle a élevée parmi ses neuf enfants à la suite d'un vœu.
Cette dernière finira par s'installer à son compte et par rivaliser avec ses anciens bienfaiteurs... dont elle rachètera la " villa u orgueilleusement installée sur les pentes du Vésuve. Mais les deux femmes ne se bornent pas à s'affronter (tandis que les hommes de la famille font de leur mieux pour dilapider le bien patiemment amassé), elles savent s'estimer, se secourir quand il le faut - en tout cas faire front quand tout conspire à ruiner leur grand rêve... Maria Orsini Natale sait mettre au service de son récit une érudition qui fait merveille, mais cela n'a jamais suffi à produire un bon livre.
Elle parvient aussi et surtout à ressusciter la sensualité d'un art de vivre confié pour l'essentiel au bon génie des femmes. Voir ce Naples-là ne donne pas spécialement envie de mourir : plutôt envie de vivre-et de mordre l'existence à belles dents.