Né à Sète le 30 octobre 1871, Paul Valéry fait la connaissance de Pierre Louÿs et de Gide avec qui il fréquente le salon de Mallarmé. Rédacteur au ministère de la Guerre, puis secrétaire particulier d'un administrateur de l'agence Havas, il accède aux cercles fermés de l'information et de la finance. Elu à l'Académie française en 1925, il est nommé professeur de poétique au Collège de France en 1937. Il meurt le 20 juillet 1945 à Paris où on lui fait des funérailles nationales.
La Machine gouverne
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages84
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.104 kg
- Dimensions11,4 cm × 16,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-9574623-8-4
- EAN9782957462384
- Date de parution07/10/2022
- CollectionLa Glyptothèque
- ÉditeurLes Lapidaires
- PréfacierEric Chevillard
Résumé
"Quant à notre sens le plus central - notre sens de l'intervalle entre le désir et la possession de son objet, qui n'est autre que le sens de la durée - et qui se satisfaisait jadis de la vitesse des chevaux ou de la brise, il trouve que les rapides sont bien lents, que les messages électriques le font mourir de langueur. Les événements eux-mêmes sont demandés comme une nourriture. S'il n'y a point ce matin quelque grand malheur dans ce monde, nous nous sentons un certain vide.
Il n'y a rien aujourd'hui dans les journaux, disent-ils. Nous voilà pris sur le fait. Nous sommes tous empoisonnés". Préface d'Eric Chevillard.
Il n'y a rien aujourd'hui dans les journaux, disent-ils. Nous voilà pris sur le fait. Nous sommes tous empoisonnés". Préface d'Eric Chevillard.
"Quant à notre sens le plus central - notre sens de l'intervalle entre le désir et la possession de son objet, qui n'est autre que le sens de la durée - et qui se satisfaisait jadis de la vitesse des chevaux ou de la brise, il trouve que les rapides sont bien lents, que les messages électriques le font mourir de langueur. Les événements eux-mêmes sont demandés comme une nourriture. S'il n'y a point ce matin quelque grand malheur dans ce monde, nous nous sentons un certain vide.
Il n'y a rien aujourd'hui dans les journaux, disent-ils. Nous voilà pris sur le fait. Nous sommes tous empoisonnés". Préface d'Eric Chevillard.
Il n'y a rien aujourd'hui dans les journaux, disent-ils. Nous voilà pris sur le fait. Nous sommes tous empoisonnés". Préface d'Eric Chevillard.