Adeline Lionetto est maître de conférences à la faculté des Lettres de Sorbonne université, spécialiste de langue et littérature françaises du 16e siècle".
La Lyre et le Masque. La poésie des fêtes de cour en France au temps de Pierre de Ronsard (1549-1585)
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- Nombre de pages568
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-600-06583-2
- EAN9782600065832
- Date de parution24/02/2025
- CollectionCahiers d'Humanisme et Renaiss
- ÉditeurDroz
Résumé
Les vers produits à l'occasion des fêtes de cour de la seconde moitié du XVIe siècle ont longtemps été considérés comme des objets littéraires sans intérêt. La génération de la Pléiade - Ronsard au premier chef - a pourtant élaboré une poésie festive hissant le poète au statut crucial de maître des plaisirs. Nullement cantonné à son pupitre ou dans sa "librairie", "l'inventeur" assume la mise en scène de ses compositions, joue parfois l'un de ses personnages et collabore avec d'autres artistes.
Sa poésie agrémente et colore la fête mais aussi la suscite et la structure : qu'elle se déploie en vers chantés ou gravés dans les décors, ou encore sur de petits billets tombant en cascade sur le monarque, elle est omniprésente dans la fête dont elle se lit, à plusieurs niveaux, comme la " légende ". Dramatisant et sacralisant l'histoire de France, elle développe l'esthétique des merveilles qui caractérise la fête contemporaine et orchestre un dialogue fructueux entre les genres de la mascarade, du cartel et du ballet
Sa poésie agrémente et colore la fête mais aussi la suscite et la structure : qu'elle se déploie en vers chantés ou gravés dans les décors, ou encore sur de petits billets tombant en cascade sur le monarque, elle est omniprésente dans la fête dont elle se lit, à plusieurs niveaux, comme la " légende ". Dramatisant et sacralisant l'histoire de France, elle développe l'esthétique des merveilles qui caractérise la fête contemporaine et orchestre un dialogue fructueux entre les genres de la mascarade, du cartel et du ballet
Les vers produits à l'occasion des fêtes de cour de la seconde moitié du XVIe siècle ont longtemps été considérés comme des objets littéraires sans intérêt. La génération de la Pléiade - Ronsard au premier chef - a pourtant élaboré une poésie festive hissant le poète au statut crucial de maître des plaisirs. Nullement cantonné à son pupitre ou dans sa "librairie", "l'inventeur" assume la mise en scène de ses compositions, joue parfois l'un de ses personnages et collabore avec d'autres artistes.
Sa poésie agrémente et colore la fête mais aussi la suscite et la structure : qu'elle se déploie en vers chantés ou gravés dans les décors, ou encore sur de petits billets tombant en cascade sur le monarque, elle est omniprésente dans la fête dont elle se lit, à plusieurs niveaux, comme la " légende ". Dramatisant et sacralisant l'histoire de France, elle développe l'esthétique des merveilles qui caractérise la fête contemporaine et orchestre un dialogue fructueux entre les genres de la mascarade, du cartel et du ballet
Sa poésie agrémente et colore la fête mais aussi la suscite et la structure : qu'elle se déploie en vers chantés ou gravés dans les décors, ou encore sur de petits billets tombant en cascade sur le monarque, elle est omniprésente dans la fête dont elle se lit, à plusieurs niveaux, comme la " légende ". Dramatisant et sacralisant l'histoire de France, elle développe l'esthétique des merveilles qui caractérise la fête contemporaine et orchestre un dialogue fructueux entre les genres de la mascarade, du cartel et du ballet