La libération de Strasbourg
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.59 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-488305-00-6
- EAN9782488305006
- Date de parution01/04/2025
- CollectionTerres rhénanes
- ÉditeurPU Rhin & Danube
- PréfacierRégis Anthonioz
Résumé
Le 26 novembre 1944, sous la flèche de la cathédrale strasbourgeoise, le général Leclerc passait en revue un détachement de la 2e division blindée en présence de l'étendard du 12e régiment de cuirassiers et rendait son nom à la place Kléber, anciennement Karl Roos Platz durant la douloureuse annexion allemande. Il honorait ainsi le serment prononcé dans l'oasis de Koufra le 2 mars 1941 et rendait à la France la capitale alsacienne dans laquelle le message "tissu est dans iode" avait été prononcé trois jours auparavant pour annoncer l'entrée fulgurante des hommes du sous-groupement Rouvillois.
Cette cérémonie prenait acte de la "délivrance" du joug nazi, sans toutefois marquer la fin des combats et des sacrifices pour les militaires, ni celui des larmes et des deuils pour les civils jusqu au printemps 1945, et parfois même bien au-delà. Aujourd'hui encore, "la libération de Strasbourg" interroge toujours dans la longue histoire de la cité et confère à cette page de la Seconde Guerre mondiale une attention particulière qui ne relève pas uniquement du symbole mais bien aussi d'une réalité historique et mémorielle parfois complexe dans une région d'entre-deux.
Par la richesse des thèmes abordés, le présent recueil témoigne de la volonté d'apporter des clefs de référence pour un large public invité à poursuivre son intérêt pour l'histoire de Strasbourg et pour ceux qui se sont engagés à la rendre libre.
Cette cérémonie prenait acte de la "délivrance" du joug nazi, sans toutefois marquer la fin des combats et des sacrifices pour les militaires, ni celui des larmes et des deuils pour les civils jusqu au printemps 1945, et parfois même bien au-delà. Aujourd'hui encore, "la libération de Strasbourg" interroge toujours dans la longue histoire de la cité et confère à cette page de la Seconde Guerre mondiale une attention particulière qui ne relève pas uniquement du symbole mais bien aussi d'une réalité historique et mémorielle parfois complexe dans une région d'entre-deux.
Par la richesse des thèmes abordés, le présent recueil témoigne de la volonté d'apporter des clefs de référence pour un large public invité à poursuivre son intérêt pour l'histoire de Strasbourg et pour ceux qui se sont engagés à la rendre libre.
Le 26 novembre 1944, sous la flèche de la cathédrale strasbourgeoise, le général Leclerc passait en revue un détachement de la 2e division blindée en présence de l'étendard du 12e régiment de cuirassiers et rendait son nom à la place Kléber, anciennement Karl Roos Platz durant la douloureuse annexion allemande. Il honorait ainsi le serment prononcé dans l'oasis de Koufra le 2 mars 1941 et rendait à la France la capitale alsacienne dans laquelle le message "tissu est dans iode" avait été prononcé trois jours auparavant pour annoncer l'entrée fulgurante des hommes du sous-groupement Rouvillois.
Cette cérémonie prenait acte de la "délivrance" du joug nazi, sans toutefois marquer la fin des combats et des sacrifices pour les militaires, ni celui des larmes et des deuils pour les civils jusqu au printemps 1945, et parfois même bien au-delà. Aujourd'hui encore, "la libération de Strasbourg" interroge toujours dans la longue histoire de la cité et confère à cette page de la Seconde Guerre mondiale une attention particulière qui ne relève pas uniquement du symbole mais bien aussi d'une réalité historique et mémorielle parfois complexe dans une région d'entre-deux.
Par la richesse des thèmes abordés, le présent recueil témoigne de la volonté d'apporter des clefs de référence pour un large public invité à poursuivre son intérêt pour l'histoire de Strasbourg et pour ceux qui se sont engagés à la rendre libre.
Cette cérémonie prenait acte de la "délivrance" du joug nazi, sans toutefois marquer la fin des combats et des sacrifices pour les militaires, ni celui des larmes et des deuils pour les civils jusqu au printemps 1945, et parfois même bien au-delà. Aujourd'hui encore, "la libération de Strasbourg" interroge toujours dans la longue histoire de la cité et confère à cette page de la Seconde Guerre mondiale une attention particulière qui ne relève pas uniquement du symbole mais bien aussi d'une réalité historique et mémorielle parfois complexe dans une région d'entre-deux.
Par la richesse des thèmes abordés, le présent recueil témoigne de la volonté d'apporter des clefs de référence pour un large public invité à poursuivre son intérêt pour l'histoire de Strasbourg et pour ceux qui se sont engagés à la rendre libre.