Coup de coeur
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.112 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-84304-824-1
  • EAN9782843048241
  • Date de parution03/05/2018
  • ÉditeurZulma
  • TraducteurCatherine Eyjólfsson

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

4 Coups de cœur
de nos libraires
Maëlle SDecitre Annecy
4/5
Touchant.
Un éleveur de brebis islandais, à l'hiver de sa vie, fait un aveu d'amour, de désir, de passion, de regrets... Des mots simples, sans fioritures, qui portent les marques de la nature et parfois, d'un certain hédonisme charnel...
Un éleveur de brebis islandais, à l'hiver de sa vie, fait un aveu d'amour, de désir, de passion, de regrets... Des mots simples, sans fioritures, qui portent les marques de la nature et parfois, d'un certain hédonisme charnel...
fabien b. - 1Decitre Grenoble
4/5
La lettre à Helga
Un vieil homme écrit une longue lettre à sa belle, son amour impossible. D'une beauté sensible et délicate, cette longue confession est une ode à l'amour, au temps qui passe, à la nature également. De ces histoires d'amour que l'on ne peut vivre en raison d'une vie que l'on s'est déjà choisie, Birgisson nous offre un roman aussi déchirant qu'absolu. Existentiel et intimiste. On se perd dans les décors sauvages de l'Islande. On se bouleverse. On se perd dans le flux et le reflux des émotions teintées de regret et de bonheur malgré tout. On s'émeut de la grâce impudique dont fait preuve ce vieil homme. C'est simplement trè
Un vieil homme écrit une longue lettre à sa belle, son amour impossible. D'une beauté sensible et délicate, cette longue confession est une ode à l'amour, au temps qui passe, à la nature également. De ces histoires d'amour que l'on ne peut vivre en raison d'une vie que l'on s'est déjà choisie, Birgisson nous offre un roman aussi déchirant qu'absolu. Existentiel et intimiste. On se perd dans les décors sauvages de l'Islande. On se bouleverse. On se perd dans le flux et le reflux des émotions teintées de regret et de bonheur malgré tout. On s'émeut de la grâce impudique dont fait preuve ce vieil homme. C'est simplement très beau.
Odile E.Decitre Part-Dieu
4/5
LA LETTRE A HELGA Bergsveinn Birgisson
Sa vie se terminant, Bjarni rédige une lettre bouleversante à la femme qu'il aima. Cette lettre nous révèle la force de l'amour et la difficulté de faire des choix ; elle nous explique différentes sortes d'amour, notamment celui éprouvé pour une personne, Helga, mais également pour un métier, éleveur de moutons, ou encore d'une terre natale, l'Islande, et par là-même de l'attachement aux origines. Bjarni explique enfin, après toutes ces années, ses choix à Helga. L'auteur nous conte l'histoire de Bjarni mais peut-être aussi, des amours et des doutes que tout homme est susceptible d'éprouver quel que soit le li
Sa vie se terminant, Bjarni rédige une lettre bouleversante à la femme qu'il aima. Cette lettre nous révèle la force de l'amour et la difficulté de faire des choix ; elle nous explique différentes sortes d'amour, notamment celui éprouvé pour une personne, Helga, mais également pour un métier, éleveur de moutons, ou encore d'une terre natale, l'Islande, et par là-même de l'attachement aux origines. Bjarni explique enfin, après toutes ces années, ses choix à Helga. L'auteur nous conte l'histoire de Bjarni mais peut-être aussi, des amours et des doutes que tout homme est susceptible d'éprouver quel que soit le lieu ou l'époque...
  • Emouvant
  • XXe siècle
  • Islande

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 37 notes dont 14 avis lecteurs
La Lettre à Helga, le sublime testament amoureux d’un éleveur islandais
Au crépuscule de sa vie, Bjarni, un éleveur de brebis islandais, écrit une longue lettre-confession à la défunte Helga. C’est l’occasion pour lui de revenir sur une histoire d’un amour incommensurable mais inassouvi avec cette femme dont le nom sensuel « caresse la gencive avant d’entrouvrir la bouche », cette femme qui est avec sa fille, « la seule religion qu’il ait jamais eue », cette femme qui, alors qu’il était marié, n’a cessé d’obséder ses pensées toute sa vie durant. Quoiqu’en pense Bjarni, sa lettre ne ressemble en rien au griffonnage d’un vieillard sénile et j’ai été profondément émue par le texte de ce fermier
Au crépuscule de sa vie, Bjarni, un éleveur de brebis islandais, écrit une longue lettre-confession à la défunte Helga. C’est l’occasion pour lui de revenir sur une histoire d’un amour incommensurable mais inassouvi avec cette femme dont le nom sensuel « caresse la gencive avant d’entrouvrir la bouche », cette femme qui est avec sa fille, « la seule religion qu’il ait jamais eue », cette femme qui, alors qu’il était marié, n’a cessé d’obséder ses pensées toute sa vie durant. Quoiqu’en pense Bjarni, sa lettre ne ressemble en rien au griffonnage d’un vieillard sénile et j’ai été profondément émue par le texte de ce fermier qui se fait tour à tour croqueur affûté d’une société islandaise en pleine métamorphose, philosophe et poète. Pour lire la suite de la critique : https://lnk.gleeph.net/nSUYdoxeuGb
Un peu décue
J'en ai entendu beaucoup de bien lors de sa sortie. Je l'ai lu dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire de Price minister et finalement je n'ai pas été aussi séduite que la majorité des lecteurs. Je ne me suis pas attaché aux personnages . Je ne suis pas rentrée dans leur histoire d'amour.
J'en ai entendu beaucoup de bien lors de sa sortie. Je l'ai lu dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire de Price minister et finalement je n'ai pas été aussi séduite que la majorité des lecteurs. Je ne me suis pas attaché aux personnages . Je ne suis pas rentrée dans leur histoire d'amour.
Répétitif
J'ai aimé le début de ce roman et la lecture qu'en fait Rufus. Mais j'ai trouvé l'ensemble un peu répétitif concernant la nostalgie du temps passé. Indridason parle souvent lui aussi de cette nostalgie d'une Islande rurale qui disparaît au profit de la ville. Et puis au bout d'un moment, cet homme m'est devenu si antipathique à cause de sa lâcheté que je n'avais plus envie de l'écouter.
J'ai aimé le début de ce roman et la lecture qu'en fait Rufus. Mais j'ai trouvé l'ensemble un peu répétitif concernant la nostalgie du temps passé. Indridason parle souvent lui aussi de cette nostalgie d'une Islande rurale qui disparaît au profit de la ville. Et puis au bout d'un moment, cet homme m'est devenu si antipathique à cause de sa lâcheté que je n'avais plus envie de l'écouter.
La lettre à Helga
3.8/5
3.6/5
Bergsveinn Birgisson
E-book
8,49 €
La fonte della vita
Bergsveinn Birgisson, Silvia Cosimini
E-book
9,99 €
Du temps qu'il fait
Bergsveinn Birgisson
E-book
16,99 €
Du temps qu'il fait
Bergsveinn Birgisson
E-book
16,99 €
Il vichingo nero
Bergsveinn Birgisson, Silvia Cosimini
E-book
9,99 €