La langue littéraire à l'aube du XXIe siècle

Par : Cécile Narjoux

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages300
  • PrésentationBroché
  • Poids0.43 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-915611-51-9
  • EAN9782915611519
  • Date de parution09/04/2010
  • CollectionLangages
  • ÉditeurEU de Dijon

Résumé

Non la langue littéraire n'est pas morte ! C'est la pétition de principe que chaque article de ce recueil a voulu valider : à l'aube du XXIe siècle, la langue littéraire est bien vivante, revitalisée même des multiples influences, apports et supports que les nouveautés du siècle mettent à sa disposition. L'ouvrage réfute donc certains lieux communs en la matière : à l'idée d'une langue " sous verre ", " malade ", " neutralisée ", " en morceaux " s'oppose l'idée d'une langue " sous influence " et " métissée ", neutre, en cela qu'elle vise à transcender un fonctionnement de type paradigmatique ; et " en mouvement " (par différents effets de manipulations graphiques, technologiques, scéniques). L'ouvrage postule ainsi qu'il n'est pas de littérature vivante sans une langue ouverte qui se met en crise et se régénère hors des circuits fermés. C'est la meilleure réponse que l'on puisse adresser aux chantres du déclin de la littérature, de la langue et de la culture françaises.
Non la langue littéraire n'est pas morte ! C'est la pétition de principe que chaque article de ce recueil a voulu valider : à l'aube du XXIe siècle, la langue littéraire est bien vivante, revitalisée même des multiples influences, apports et supports que les nouveautés du siècle mettent à sa disposition. L'ouvrage réfute donc certains lieux communs en la matière : à l'idée d'une langue " sous verre ", " malade ", " neutralisée ", " en morceaux " s'oppose l'idée d'une langue " sous influence " et " métissée ", neutre, en cela qu'elle vise à transcender un fonctionnement de type paradigmatique ; et " en mouvement " (par différents effets de manipulations graphiques, technologiques, scéniques). L'ouvrage postule ainsi qu'il n'est pas de littérature vivante sans une langue ouverte qui se met en crise et se régénère hors des circuits fermés. C'est la meilleure réponse que l'on puisse adresser aux chantres du déclin de la littérature, de la langue et de la culture françaises.
Hernani et Ruy Blas
Olivier Bara, Patrick Berthier, Sylvie Vielledent, Arnaud Bernadet, Cécile Narjoux
Poche
19,00 €