La langue affranchie. Se raccommoder avec l'évolution linguistique
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.174 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-924606-37-7
- EAN9782924606377
- Date de parution09/10/2020
- CollectionIdentité
- ÉditeurSomme toute
- PréfacierMatthieu Dugal
Résumé
Tout le monde s'entend pour dire que la langue française a changé au fil du temps. Pourtant, on semble avoir plus de mal à accepter qu'elle se transformera encore, et pas seulement en gagnant de nouveaux mots. Elle changera dans sa structure et dans son fonctionnement, comme elle l'a déjà fait à maintes reprises. Les évolutions linguistiques ne sont pas des dégradations, des appauvrissements ou du nivellement par le bas.
La langue moderne n'est pas l'état optimal que plus rien ne peut ni ne doit atteindre. Pour maintenir la langue française au Québec, au lieu de vouloir la conserver sous une cloche de verre, ne faudrait-il pas plutôt l'affranchir, et se raccommoder avec l'évolution linguistique ?
La langue moderne n'est pas l'état optimal que plus rien ne peut ni ne doit atteindre. Pour maintenir la langue française au Québec, au lieu de vouloir la conserver sous une cloche de verre, ne faudrait-il pas plutôt l'affranchir, et se raccommoder avec l'évolution linguistique ?
Tout le monde s'entend pour dire que la langue française a changé au fil du temps. Pourtant, on semble avoir plus de mal à accepter qu'elle se transformera encore, et pas seulement en gagnant de nouveaux mots. Elle changera dans sa structure et dans son fonctionnement, comme elle l'a déjà fait à maintes reprises. Les évolutions linguistiques ne sont pas des dégradations, des appauvrissements ou du nivellement par le bas.
La langue moderne n'est pas l'état optimal que plus rien ne peut ni ne doit atteindre. Pour maintenir la langue française au Québec, au lieu de vouloir la conserver sous une cloche de verre, ne faudrait-il pas plutôt l'affranchir, et se raccommoder avec l'évolution linguistique ?
La langue moderne n'est pas l'état optimal que plus rien ne peut ni ne doit atteindre. Pour maintenir la langue française au Québec, au lieu de vouloir la conserver sous une cloche de verre, ne faudrait-il pas plutôt l'affranchir, et se raccommoder avec l'évolution linguistique ?