En cours de chargement...
J'écris pour dénoncer tous les maux qui empêchent la jeunesse camerounaise de s'épanouir ("La vie dans les grandes écoles") ; ces maux qui empêchent l'Afrique de s'unir ("Le salut de l'homme") ; ces maux qui obligent la culture universelle à piétiner sur place ("Femme noire, La guerre"). J'écris pour placer l'homme face à ses responsabilités. Pour lui rappeler que l'humilité réunit les hommes, tandis que l'orgueil les sépare ("Bonheur perdu").
J'écris aussi pour redonner l'espoir à la jeunesse camerounaise en particulier et à l'homme en général ("La jeunesse camerounaise"). J'écris pour que l'histoire retienne qu'il y a eu de grands hommes sur la terre, peu importe le continent auquel ils appartenaient. Ils étaient des hommes tout court : hommes de cœur, défenseurs de valeurs nobles et humaines, patriotes ("Hommage au Docteur Jamot"). Je décrie la haine ("Homme sans coeur") et soutiens l'amour ("L'attente"), grâce à la magie de la poésie moderne qui permet d'interpeller, d'exhorter et de conseiller de manière directe le lecteur.