La jambe du docteur Dogbody

Par : James-Norman Hall
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  • Nombre de pages325
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN979-10-93406-09-1
  • EAN9791093406091
  • Date de parution01/04/2018
  • ÉditeurURA éditions

Résumé

Les guerres napoléoniennes sont enfin terminées. On est en 1819, et les survivants des armées européennes sont rendus à la vie civile. A Portsmouth, en Angleterre, les marins de la Royale ont débarqué. Et aussi ce curieux personnage, le docteur Dogbody, chirurgien de marine, qui a opéré et amputé pendant de longues années sur quantité de navires de guerre. Il a perdu lui aussi une jambe et porte un pilon.
Dans l'auberge accueillante de la Tortue Joyeuse, il raconte aux hôtes de passage comment il a perdu cette jambe. Tel est l'argument que se donne James Norman Hall pour ce roman singulier. Dix chapitres se suivent, où le hâbleur impénitent qu'est Dogbody raconte dix histoires différentes sur la perte de sa jambe. Et chacune d'elles donne l'impression d'être la vraie. Au fil des récits captivants de Dogbody, le lecteur parcourt le monde - Afrique, Russie, Amérique, Angleterre, France, Jamaïque...
il y trouve la description précise de deux batailles navales célèbres, la bataille de Copenhague, gagnée de justesse par Nelson en 1802, et la bataille de l'île d'Aix de 1809, désastre pour la marine impériale. Mais aussi l'évocation de sujets cruels : le mauvais avitaillement des vaisseaux de guerre, la rapacité des officiers supérieurs, les rafles de marins enrôlés de force, la déportation des femmes prisonnières ou la traite des Noirs.
Tout cela sans peser, emporté par la narration allègre du vieux chirurgien. On y croise aussi des personnages célèbres, le roi George III, l'incapable et corrompu Lord Sandwich, premier Lord de l'Amirauté, Catherine de Russie, Benjamin Franklin par deux fois, et John Adams, un des pères fondateurs des Etats-Unis. Hall s'offre même le plaisir de faire dialoguer Franklin et Adams sur l'avenir de l'Amérique.
Cinq ans après la Trilogie du Bounty, écrite en collaboration avec Charles Nordhoff, Hall utilise la documentation considérable qu'il a accumulée sur la marine de guerre du XVIIIème siècle pour écrire ce livre drôle et incisif, d'une fantaisie débridée, qu'il publie en 1941. Le 25 octobre 2015, Keith Richards, célèbre membre des Rolling Stones, affirmait à la télévision britannique que le seul livre qu'il emporterait sur une île déserte serait Doctor Dogbody's Leg, provoquant une ruée sur ce livre, devenu vite introuvable en anglais.
Heureusement, ce chef-d'oeuvre est aujourd'hui disponible en français.
Les guerres napoléoniennes sont enfin terminées. On est en 1819, et les survivants des armées européennes sont rendus à la vie civile. A Portsmouth, en Angleterre, les marins de la Royale ont débarqué. Et aussi ce curieux personnage, le docteur Dogbody, chirurgien de marine, qui a opéré et amputé pendant de longues années sur quantité de navires de guerre. Il a perdu lui aussi une jambe et porte un pilon.
Dans l'auberge accueillante de la Tortue Joyeuse, il raconte aux hôtes de passage comment il a perdu cette jambe. Tel est l'argument que se donne James Norman Hall pour ce roman singulier. Dix chapitres se suivent, où le hâbleur impénitent qu'est Dogbody raconte dix histoires différentes sur la perte de sa jambe. Et chacune d'elles donne l'impression d'être la vraie. Au fil des récits captivants de Dogbody, le lecteur parcourt le monde - Afrique, Russie, Amérique, Angleterre, France, Jamaïque...
il y trouve la description précise de deux batailles navales célèbres, la bataille de Copenhague, gagnée de justesse par Nelson en 1802, et la bataille de l'île d'Aix de 1809, désastre pour la marine impériale. Mais aussi l'évocation de sujets cruels : le mauvais avitaillement des vaisseaux de guerre, la rapacité des officiers supérieurs, les rafles de marins enrôlés de force, la déportation des femmes prisonnières ou la traite des Noirs.
Tout cela sans peser, emporté par la narration allègre du vieux chirurgien. On y croise aussi des personnages célèbres, le roi George III, l'incapable et corrompu Lord Sandwich, premier Lord de l'Amirauté, Catherine de Russie, Benjamin Franklin par deux fois, et John Adams, un des pères fondateurs des Etats-Unis. Hall s'offre même le plaisir de faire dialoguer Franklin et Adams sur l'avenir de l'Amérique.
Cinq ans après la Trilogie du Bounty, écrite en collaboration avec Charles Nordhoff, Hall utilise la documentation considérable qu'il a accumulée sur la marine de guerre du XVIIIème siècle pour écrire ce livre drôle et incisif, d'une fantaisie débridée, qu'il publie en 1941. Le 25 octobre 2015, Keith Richards, célèbre membre des Rolling Stones, affirmait à la télévision britannique que le seul livre qu'il emporterait sur une île déserte serait Doctor Dogbody's Leg, provoquant une ruée sur ce livre, devenu vite introuvable en anglais.
Heureusement, ce chef-d'oeuvre est aujourd'hui disponible en français.
Dix-neuf hommes contre la mer
4/5
James-Norman Hall, Charles Nordhoff
E-book
9,99 €