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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,2 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-251-01318-0
  • EAN9782251013183
  • Date de parution01/01/1981
  • ÉditeurBelles Lettres

Résumé

Le deuxième tome des Punica s'ouvre sur l'année -217, plus particulièrement autour de la défaite de Trasimène. De nombreuses et courtes aristies et une série d'exempla tirés du glorieux passé romain, comme de l'époque contemporaine à la guerre punique, viennent faire tableau et interrompent la progression dramatique. Le livre VI annonce l'élection de Fabius comme dictateur, puis le livre VII narre la "Geste de Fabius" remémorant les origines des Fabii, et ses nombreux mérites.
Notons que les trois derniers chants de ce deuxième tome de l'épopée brillent par son absence d'événements militaires (hormis la prise de Sagonte et les désastres romains de -217, notamment à Trasimène) : les commentateurs de cette édition n'hésitent pas à dire que "la matière épique reste ténue et le chant se résout le plus souvent en exposés étiologiques ou en épyllia" (p. XXIX). Et effectivement, un songe prémonitoire y annonce la future destruction de Carthage.
Enfin, le chant VIII montre l'accession de Varron au consulat, le désespoir que cela provoque chez Fabius et Paul-Emile, et enfin l'imminence du grand combat entre Carthaginois et Romains donnant lieu à un dénombrement très long des armées respectives.
Le deuxième tome des Punica s'ouvre sur l'année -217, plus particulièrement autour de la défaite de Trasimène. De nombreuses et courtes aristies et une série d'exempla tirés du glorieux passé romain, comme de l'époque contemporaine à la guerre punique, viennent faire tableau et interrompent la progression dramatique. Le livre VI annonce l'élection de Fabius comme dictateur, puis le livre VII narre la "Geste de Fabius" remémorant les origines des Fabii, et ses nombreux mérites.
Notons que les trois derniers chants de ce deuxième tome de l'épopée brillent par son absence d'événements militaires (hormis la prise de Sagonte et les désastres romains de -217, notamment à Trasimène) : les commentateurs de cette édition n'hésitent pas à dire que "la matière épique reste ténue et le chant se résout le plus souvent en exposés étiologiques ou en épyllia" (p. XXIX). Et effectivement, un songe prémonitoire y annonce la future destruction de Carthage.
Enfin, le chant VIII montre l'accession de Varron au consulat, le désespoir que cela provoque chez Fabius et Paul-Emile, et enfin l'imminence du grand combat entre Carthaginois et Romains donnant lieu à un dénombrement très long des armées respectives.