C’est une tête, Éric Vuillard. Bien faite et bien pleine, auréolée même du PRIX GONCOURT 2017, pour « L’Ordre du Jour ».
C’est un écrivain de l’Histoire qui, quoiqu’il raconte, quoiqu’il narre de ces passés, reste aimanté par le flots des nouvelles, des actualités. Toujours, une subtilité dans le texte aiguillera le lecteur, pour penser son quotidien, son contemporain, tout en explorant, avec lui, page après page, le confin des dates.
Ici, il nous laisse en plein Schisme : la grande rupture du Christianisme, et les prémices de la Réforme. Pour l’illustrer, il choisi Müntzer, bien sûr il choisi Luther, tel ou tel Comte, Prince, Roi : nous sommes au XVIe ! Évoque la révolte des paysans, des sans sous, des sans dents. De ceux qui déjà se levaient « contre l’argent, la force et le pouvoir ».
Ah, Vuillard et son humour du désastre…
C’est une tête, Éric Vuillard. Bien faite et bien pleine, auréolée même du PRIX GONCOURT 2017, pour « L’Ordre du Jour ».
C’est un écrivain de l’Histoire qui, quoiqu’il raconte, quoiqu’il narre de ces passés, reste aimanté par le flots des nouvelles, des actualités. Toujours, une subtilité dans le texte aiguillera le lecteur, pour penser son quotidien, son contemporain, tout en explorant, avec lui, page après page, le confin des dates.
Ici, il nous laisse en plein Schisme : la grande rupture du Christianisme, et les prémices de la Réforme. Pour l’illustrer, il choisi Müntzer, bien sûr il choisi Luther, tel ou tel Comte, Prince, Roi : nous sommes au XVIe ! Évoque la révolte des paysans, des sans sous, des sans dents. De ceux qui déjà se levaient « contre l’argent, la force et le pouvoir ».
Ah, Vuillard et son humour du désastre…