La guerre d'Arguin. 1678-1728 - Premier pas français sur la côte des Maures

Par : Gérard Buttoud

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  • Nombre de pages272
  • PrésentationBroché
  • Poids0.329 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-19145-4
  • EAN9782343191454
  • Date de parution09/01/2020
  • CollectionHistoire, Textes, Sociétés
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Du banc d'Arguin à Nouakchott, le long de la côte de l'actuelle Mauritanie, désert et océan se rencontrent. Dans ce bout du monde fait de sable et d'eau, des escadres de marine et des troupes d'infanterie françaises se sont battues, contre les marins et marchands hollandais aussi bien que contre les tribus maures trârzä, de la fin du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe. L'enjeu de cette guerre, à la fois économique et militaire, était le contrôle du marché de la gomme arabique récoltée sur des bois de la rive droite du Sénégal.
Il en allait du profit des compagnies françaises, mais surtout de l'honneur du drapeau et de la gloire du roi. Pour finalement abandonner ces positions, difficiles à défendre en raison de leur isolement et rendues inutiles par la recomposition du commerce des esclaves et de la gomme. Un moment peu connu aussi bien de l'histoire coloniale et économique française que de l'histoire mauritanienne.
Du banc d'Arguin à Nouakchott, le long de la côte de l'actuelle Mauritanie, désert et océan se rencontrent. Dans ce bout du monde fait de sable et d'eau, des escadres de marine et des troupes d'infanterie françaises se sont battues, contre les marins et marchands hollandais aussi bien que contre les tribus maures trârzä, de la fin du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe. L'enjeu de cette guerre, à la fois économique et militaire, était le contrôle du marché de la gomme arabique récoltée sur des bois de la rive droite du Sénégal.
Il en allait du profit des compagnies françaises, mais surtout de l'honneur du drapeau et de la gloire du roi. Pour finalement abandonner ces positions, difficiles à défendre en raison de leur isolement et rendues inutiles par la recomposition du commerce des esclaves et de la gomme. Un moment peu connu aussi bien de l'histoire coloniale et économique française que de l'histoire mauritanienne.