La guerre civile. Pièce en trois actes
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- Nombre de pages248
- PrésentationBroché
- Poids0.249 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,1 cm × 2,0 cm
- ISBN2-07-073835-3
- EAN9782070738359
- Date de parution01/01/1994
- CollectionLe manteau d'Arlequin
- ÉditeurGallimard
Résumé
La Guerre civile fut conçue en 1957. Le protagoniste en est Pompée, héros dans la ligne de plusieurs autres héros de Montherlant : complexe, inconsistant, fort en apparence, faible en réalité, triomphateur de trois continents, et sujet à de fatales "dépressions nerveuses", dont une entraînera sa fin. En seconde ligne est Caton qui, combattant et mourant pour une cause à laquelle il ne croit qu'à demi, et pour un chef auquel il ne croit pas, est lui aussi dans une ligne familière à Henry de Montherlant, celle du "combat sans la foi".
Auprès d'eux, Brutus, la planche pourrie ; Acilius, le "pur", de gauche ; Domitius, l'inconditionnel douloureux ; Laetorius, le joyeux génial ; Fannius, le faisan accompli. Et la guerre civile, qui dit ce que doit dire la guerre civile. Et, à l'écart, le Chour, qui est la Raison suprême, qui juge, et à l'occasion ricane.
Auprès d'eux, Brutus, la planche pourrie ; Acilius, le "pur", de gauche ; Domitius, l'inconditionnel douloureux ; Laetorius, le joyeux génial ; Fannius, le faisan accompli. Et la guerre civile, qui dit ce que doit dire la guerre civile. Et, à l'écart, le Chour, qui est la Raison suprême, qui juge, et à l'occasion ricane.
La Guerre civile fut conçue en 1957. Le protagoniste en est Pompée, héros dans la ligne de plusieurs autres héros de Montherlant : complexe, inconsistant, fort en apparence, faible en réalité, triomphateur de trois continents, et sujet à de fatales "dépressions nerveuses", dont une entraînera sa fin. En seconde ligne est Caton qui, combattant et mourant pour une cause à laquelle il ne croit qu'à demi, et pour un chef auquel il ne croit pas, est lui aussi dans une ligne familière à Henry de Montherlant, celle du "combat sans la foi".
Auprès d'eux, Brutus, la planche pourrie ; Acilius, le "pur", de gauche ; Domitius, l'inconditionnel douloureux ; Laetorius, le joyeux génial ; Fannius, le faisan accompli. Et la guerre civile, qui dit ce que doit dire la guerre civile. Et, à l'écart, le Chour, qui est la Raison suprême, qui juge, et à l'occasion ricane.
Auprès d'eux, Brutus, la planche pourrie ; Acilius, le "pur", de gauche ; Domitius, l'inconditionnel douloureux ; Laetorius, le joyeux génial ; Fannius, le faisan accompli. Et la guerre civile, qui dit ce que doit dire la guerre civile. Et, à l'écart, le Chour, qui est la Raison suprême, qui juge, et à l'occasion ricane.