À paraître

La grande fracture. L'Occident assiégé et divisé

Par : Alexandre Del Valle
Bientôt disponible
La date de sortie de cet article n'est pas encore confirmée. Selon l'éditeur, il sera bientôt disponible.
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • ISBN978-2-8100-1265-7
  • EAN9782810012657
  • Date de parution17/09/2025
  • ÉditeurL'Artilleur

Résumé

Le dernier sommet des BRICS qui s'est tenu à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre 2024 a rassemblé des puissances considérables : Chine, Russie, Inde, Afrique du Sud, Egypte ou Brésil. Tous ces pays, qui représentent désormais la plus grande partie de la population du globe souhaitent l'établissement d'un nouvel ordre mondial multipolaire, face à l'Occident et à des organisations qu'ils jugent partiales comme l'ONU et le G7.
La fracture entre le " Sud global " et l'Occident est donc clairement actée. A l'intérieur même du " club occidental " , les divergences deviennent elles-aussi criantes. La Hongrie de Viktor Orban ou l'Italie de Giorgia Meloni ont de moins en moins de points communs avec la France progressiste de M. Macron ou l'Allemagne de M. Scholz. Enfin, au sein des nations elles-mêmes, les antagonismes se multiplient et se radicalisent, sur la base de visions très opposées de la société : multiculturalisme ou nationalisme, ouverture à la mondialisation économique et financière ou contrôle plus strict des flux, place des minorités, etc...
Le géopolitologue Alexandre Del Valle réalise une analyse complète des risques que font courir ces affrontements croissants, pour les nations occidentales mais aussi pour le monde entier.
Le dernier sommet des BRICS qui s'est tenu à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre 2024 a rassemblé des puissances considérables : Chine, Russie, Inde, Afrique du Sud, Egypte ou Brésil. Tous ces pays, qui représentent désormais la plus grande partie de la population du globe souhaitent l'établissement d'un nouvel ordre mondial multipolaire, face à l'Occident et à des organisations qu'ils jugent partiales comme l'ONU et le G7.
La fracture entre le " Sud global " et l'Occident est donc clairement actée. A l'intérieur même du " club occidental " , les divergences deviennent elles-aussi criantes. La Hongrie de Viktor Orban ou l'Italie de Giorgia Meloni ont de moins en moins de points communs avec la France progressiste de M. Macron ou l'Allemagne de M. Scholz. Enfin, au sein des nations elles-mêmes, les antagonismes se multiplient et se radicalisent, sur la base de visions très opposées de la société : multiculturalisme ou nationalisme, ouverture à la mondialisation économique et financière ou contrôle plus strict des flux, place des minorités, etc...
Le géopolitologue Alexandre Del Valle réalise une analyse complète des risques que font courir ces affrontements croissants, pour les nations occidentales mais aussi pour le monde entier.