La grâce du criminel
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.255 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-13-054624-2
- EAN9782130546245
- Date de parution09/02/2005
- CollectionPerspectives critiques
- ÉditeurPUF
Résumé
Dostoïevski, Faulkner, Genet... S'il y a un domaine dans lequel le phénomène criminel fait l'objet d'un travail de compréhension, c'est bien celui de la fiction romanesque. Lorsqu'ils écrivent sur le crime, les romanciers procèdent selon une méthode empathique : ils s'efforcent de se mettre, par l'imagination, dans la peau du meurtrier. Cette tentative pour décrire de l'intérieur la psychologie criminelle est unique.
Les écrivains n'ont aucune barrière morale, ils n'entendent par lutter contre un problème de société. Leur démarche n'est nullement normative : ils essaient seulement de cerner, par des mots adéquats, cette pulsion homicide qui appartient depuis la nuit des temps à la nature humaine.
Les écrivains n'ont aucune barrière morale, ils n'entendent par lutter contre un problème de société. Leur démarche n'est nullement normative : ils essaient seulement de cerner, par des mots adéquats, cette pulsion homicide qui appartient depuis la nuit des temps à la nature humaine.
Dostoïevski, Faulkner, Genet... S'il y a un domaine dans lequel le phénomène criminel fait l'objet d'un travail de compréhension, c'est bien celui de la fiction romanesque. Lorsqu'ils écrivent sur le crime, les romanciers procèdent selon une méthode empathique : ils s'efforcent de se mettre, par l'imagination, dans la peau du meurtrier. Cette tentative pour décrire de l'intérieur la psychologie criminelle est unique.
Les écrivains n'ont aucune barrière morale, ils n'entendent par lutter contre un problème de société. Leur démarche n'est nullement normative : ils essaient seulement de cerner, par des mots adéquats, cette pulsion homicide qui appartient depuis la nuit des temps à la nature humaine.
Les écrivains n'ont aucune barrière morale, ils n'entendent par lutter contre un problème de société. Leur démarche n'est nullement normative : ils essaient seulement de cerner, par des mots adéquats, cette pulsion homicide qui appartient depuis la nuit des temps à la nature humaine.