Son père savait qu'il serait Gendarme, mais ne se doutait pas qu'il serait aussi écrivain! Quant à son instituteur, il n'en doutait pas lorsqu'il lui disait : " Michaud, vous finirez entre deux gendarmes »! Le Major Michaud a parcouru l'Auvergne pendant ses 31 années de services. Formé à Auxerre puis à Montluçon il se passionnera pour l'Auvergne tout au long de ses affectations allant de Saint Amand Tallende, à Aydat, en passant par Moulins, Aurec sur Loire, Montluçon et Dompierre sur Besbre. Aujourd'hui retiré à Saint-Pourçain pour une retraite presque paisible il poursuit ses recherches sur la passion de sa vie, " la gendarmerie " pour laquelle il dispense encore conseil et formation et l'implication dans la vie locale notamment dans l'éducation de jeunes cyclistes, une autre de ses passions.
La gendarmerie d'auvergne une belle histoire
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- Nombre de pages528
- PrésentationBroché
- Poids0.852 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 4,0 cm
- ISBN978-2-36349-013-1
- EAN9782363490131
- Date de parution13/11/2014
- ÉditeurADEQUAT
Résumé
Ce livre permet de cerner l'histoire de la gendarmerie, de ses débuts au lendemain de la Révolution française à nos jours. Effectivement, depuis sa création en 1791 (en remplacement de la maréchaussée), la vie et l'actualité de la gendarmerie sont liées à un nombre de faits divers plutôt impressionnant. L'auteur préfère évoquer les "faits d'armes" (les actes de courage) et les regroupe dans un chapitre sur une vaste période à cheval sur trois siècles, de 1792 à 1929.
On y retrouve beaucoup de sauvetage de personnes : noyades, incendies... Ou encore des arrestations particulièrement violentes, des opérations dangereuses. Parmi elles, les inventaires des biens d'église réalisés en Haute-Loire en février et mars 1906. Un gendarme avait même dû utiliser son arme pour se défendre. Un habitant de Montregard avait été mortellement blessé. La presse nationale s'en était fait l'écho comme le prouve la couverture du quotidien "Le Petit Journal" du 18 mars 1906, reprise dans l'ouvrage.
On y retrouve beaucoup de sauvetage de personnes : noyades, incendies... Ou encore des arrestations particulièrement violentes, des opérations dangereuses. Parmi elles, les inventaires des biens d'église réalisés en Haute-Loire en février et mars 1906. Un gendarme avait même dû utiliser son arme pour se défendre. Un habitant de Montregard avait été mortellement blessé. La presse nationale s'en était fait l'écho comme le prouve la couverture du quotidien "Le Petit Journal" du 18 mars 1906, reprise dans l'ouvrage.
Ce livre permet de cerner l'histoire de la gendarmerie, de ses débuts au lendemain de la Révolution française à nos jours. Effectivement, depuis sa création en 1791 (en remplacement de la maréchaussée), la vie et l'actualité de la gendarmerie sont liées à un nombre de faits divers plutôt impressionnant. L'auteur préfère évoquer les "faits d'armes" (les actes de courage) et les regroupe dans un chapitre sur une vaste période à cheval sur trois siècles, de 1792 à 1929.
On y retrouve beaucoup de sauvetage de personnes : noyades, incendies... Ou encore des arrestations particulièrement violentes, des opérations dangereuses. Parmi elles, les inventaires des biens d'église réalisés en Haute-Loire en février et mars 1906. Un gendarme avait même dû utiliser son arme pour se défendre. Un habitant de Montregard avait été mortellement blessé. La presse nationale s'en était fait l'écho comme le prouve la couverture du quotidien "Le Petit Journal" du 18 mars 1906, reprise dans l'ouvrage.
On y retrouve beaucoup de sauvetage de personnes : noyades, incendies... Ou encore des arrestations particulièrement violentes, des opérations dangereuses. Parmi elles, les inventaires des biens d'église réalisés en Haute-Loire en février et mars 1906. Un gendarme avait même dû utiliser son arme pour se défendre. Un habitant de Montregard avait été mortellement blessé. La presse nationale s'en était fait l'écho comme le prouve la couverture du quotidien "Le Petit Journal" du 18 mars 1906, reprise dans l'ouvrage.