La gauche décomplexée ; La droite d'après. Chronique féérique d'un quinquennat d'espérance
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.395 kg
- Dimensions24,3 cm × 16,9 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36921-014-6
- EAN9782369210146
- Date de parution09/01/2017
- ÉditeurFakir Editions
Résumé
"Mon ennemi a un visage, et même un nom et pout tout dire, il sent un peu l'urine !". Dans son discours de victoire sur la place Stalingrad, François Hollande a déclaré la guerre aux riches : "Liliane Bettencourt, Bernard Arnault, Serge Dassault, vous pouvez trembler. I'm very dangerous !". Le président socialiste n'entend pas "laisser une poignée de vieillards ou de traders dégénérés prendre en otage une population entière".
Après l'élection présidentielle de 2012, Valéry Chartier a fait un rêve : que la "gauche de gouvernement" soit de gauche, résolument décomplexée. Tous les thèmes, tous les événements du règne d'Hollande sont revisités, des attentats à l'Europe, de l'écologie à la politique étrangère. C'est de l'humour, bien sûr, et on jubile de l'outrance. Mais cette parodie est aussi à prendre à sérieux : elle nous révèle, en creux, tout ce que "la gauche" n'a pas été, tout ce qu'elle pourrait être demain.
A sa manière, cette satire rouvre le chemin de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.
Après l'élection présidentielle de 2012, Valéry Chartier a fait un rêve : que la "gauche de gouvernement" soit de gauche, résolument décomplexée. Tous les thèmes, tous les événements du règne d'Hollande sont revisités, des attentats à l'Europe, de l'écologie à la politique étrangère. C'est de l'humour, bien sûr, et on jubile de l'outrance. Mais cette parodie est aussi à prendre à sérieux : elle nous révèle, en creux, tout ce que "la gauche" n'a pas été, tout ce qu'elle pourrait être demain.
A sa manière, cette satire rouvre le chemin de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.
"Mon ennemi a un visage, et même un nom et pout tout dire, il sent un peu l'urine !". Dans son discours de victoire sur la place Stalingrad, François Hollande a déclaré la guerre aux riches : "Liliane Bettencourt, Bernard Arnault, Serge Dassault, vous pouvez trembler. I'm very dangerous !". Le président socialiste n'entend pas "laisser une poignée de vieillards ou de traders dégénérés prendre en otage une population entière".
Après l'élection présidentielle de 2012, Valéry Chartier a fait un rêve : que la "gauche de gouvernement" soit de gauche, résolument décomplexée. Tous les thèmes, tous les événements du règne d'Hollande sont revisités, des attentats à l'Europe, de l'écologie à la politique étrangère. C'est de l'humour, bien sûr, et on jubile de l'outrance. Mais cette parodie est aussi à prendre à sérieux : elle nous révèle, en creux, tout ce que "la gauche" n'a pas été, tout ce qu'elle pourrait être demain.
A sa manière, cette satire rouvre le chemin de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.
Après l'élection présidentielle de 2012, Valéry Chartier a fait un rêve : que la "gauche de gouvernement" soit de gauche, résolument décomplexée. Tous les thèmes, tous les événements du règne d'Hollande sont revisités, des attentats à l'Europe, de l'écologie à la politique étrangère. C'est de l'humour, bien sûr, et on jubile de l'outrance. Mais cette parodie est aussi à prendre à sérieux : elle nous révèle, en creux, tout ce que "la gauche" n'a pas été, tout ce qu'elle pourrait être demain.
A sa manière, cette satire rouvre le chemin de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.