La Garde impériale 1804-1815. Tome 2, Les troupes à cheval, Première partie

Par : André Jouineau, Jean-Marie Mongin

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  • Nombre de pages82
  • PrésentationBroché
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions20,0 cm × 24,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-35250-032-2
  • EAN9782352500322
  • Date de parution11/09/2007
  • CollectionOfficiers et soldats
  • ÉditeurHistoire et Collections

Résumé

Pour l'Empereur, la cavalerie est l'arme du commandement, elle doit le renseigner et lui permettre faire sentir son action, sa vision au cœur de l'engagement. Il faut disposer du plus d'escadrons possible pour parer un danger, profiter de la première opportunité ou créer l'événement au cours de la bataille. La nécessité de disposer d'une cavalerie rapide et manœuvrière (la cavalerie légère), d'une cavalerie de rupture (la cavalerie lourde) et d'une cavalerie d'exploitation pouvant occuper le terrain (la cavalerie de ligne, les dragons), est essentielle. Sa rapidité, fait de la cavalerie l'arme du chef, l'arme de crise par excellence. Ces considérations impériales sur le rôle de la cavalerie en général sont bien entendu applicables à la cavalerie de la Garde qui se révèle bien, de par sa nature même de phalange de recours, comme étant l'arme suprême du commandement que l'on emploie au mieux des circonstances.
Pour l'Empereur, la cavalerie est l'arme du commandement, elle doit le renseigner et lui permettre faire sentir son action, sa vision au cœur de l'engagement. Il faut disposer du plus d'escadrons possible pour parer un danger, profiter de la première opportunité ou créer l'événement au cours de la bataille. La nécessité de disposer d'une cavalerie rapide et manœuvrière (la cavalerie légère), d'une cavalerie de rupture (la cavalerie lourde) et d'une cavalerie d'exploitation pouvant occuper le terrain (la cavalerie de ligne, les dragons), est essentielle. Sa rapidité, fait de la cavalerie l'arme du chef, l'arme de crise par excellence. Ces considérations impériales sur le rôle de la cavalerie en général sont bien entendu applicables à la cavalerie de la Garde qui se révèle bien, de par sa nature même de phalange de recours, comme étant l'arme suprême du commandement que l'on emploie au mieux des circonstances.