La frustration salariale. A quoi servent les primes ?
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.412 kg
- Dimensions16,2 cm × 24,2 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-231-0773-9
- EAN9791023107739
- Date de parution26/03/2024
- CollectionL'intelligence du social
- ÉditeurSorbonne Université Presses
- PréfacierDominique Méda
Résumé
Cet ouvrage part à la découverte du phénomène de la frustration salariale. Aujourd'hui, des éléments de plus en plus variés sont adjoints au salaire pour rétribuer le travail et les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. Dans les trente dernières années, les points de repère pour apprécier la rémunération du travail se sont peu à peu effacés. L'individualisation récente des rémunérations brouille les perceptions individuelle et collective des salaires dont les usages sont finalement plus complexes qu'il n'y paraît (ceux-ci ont aussi pour fonction d'attirer, de fidéliser, de contrôler, voire de punir...).
En conséquence, les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. C'est dans ce contexte troublé, bien souvent autour de la machine à café ou de la photocopieuse, que les salariés comparent leurs fiches de paie et s'en font une opinion. Mise à l'épreuve d'une enquête mixte, qualitative et quantitative, la transparence de ces discussions entre collègues ne va pas sans entraîner aussi des effets de pairs : elle peut, à son tour, être source de frustration salariale.
Elise Penalva-Icher est professeure des universités en sociologie à l'université Paris Dauphine PSL et chercheure à l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso), centre spécialisé dans les articulations et transformations des régulations publiques et privées du capitalisme. Dans ce cadre, ses travaux investiguent depuis 15 ans l'investissement responsable et la responsabilité sociale des entreprises (RSE).
En conséquence, les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. C'est dans ce contexte troublé, bien souvent autour de la machine à café ou de la photocopieuse, que les salariés comparent leurs fiches de paie et s'en font une opinion. Mise à l'épreuve d'une enquête mixte, qualitative et quantitative, la transparence de ces discussions entre collègues ne va pas sans entraîner aussi des effets de pairs : elle peut, à son tour, être source de frustration salariale.
Elise Penalva-Icher est professeure des universités en sociologie à l'université Paris Dauphine PSL et chercheure à l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso), centre spécialisé dans les articulations et transformations des régulations publiques et privées du capitalisme. Dans ce cadre, ses travaux investiguent depuis 15 ans l'investissement responsable et la responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Cet ouvrage part à la découverte du phénomène de la frustration salariale. Aujourd'hui, des éléments de plus en plus variés sont adjoints au salaire pour rétribuer le travail et les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. Dans les trente dernières années, les points de repère pour apprécier la rémunération du travail se sont peu à peu effacés. L'individualisation récente des rémunérations brouille les perceptions individuelle et collective des salaires dont les usages sont finalement plus complexes qu'il n'y paraît (ceux-ci ont aussi pour fonction d'attirer, de fidéliser, de contrôler, voire de punir...).
En conséquence, les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. C'est dans ce contexte troublé, bien souvent autour de la machine à café ou de la photocopieuse, que les salariés comparent leurs fiches de paie et s'en font une opinion. Mise à l'épreuve d'une enquête mixte, qualitative et quantitative, la transparence de ces discussions entre collègues ne va pas sans entraîner aussi des effets de pairs : elle peut, à son tour, être source de frustration salariale.
Elise Penalva-Icher est professeure des universités en sociologie à l'université Paris Dauphine PSL et chercheure à l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso), centre spécialisé dans les articulations et transformations des régulations publiques et privées du capitalisme. Dans ce cadre, ses travaux investiguent depuis 15 ans l'investissement responsable et la responsabilité sociale des entreprises (RSE).
En conséquence, les salariés sont en demande d'une plus grande transparence. C'est dans ce contexte troublé, bien souvent autour de la machine à café ou de la photocopieuse, que les salariés comparent leurs fiches de paie et s'en font une opinion. Mise à l'épreuve d'une enquête mixte, qualitative et quantitative, la transparence de ces discussions entre collègues ne va pas sans entraîner aussi des effets de pairs : elle peut, à son tour, être source de frustration salariale.
Elise Penalva-Icher est professeure des universités en sociologie à l'université Paris Dauphine PSL et chercheure à l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso), centre spécialisé dans les articulations et transformations des régulations publiques et privées du capitalisme. Dans ce cadre, ses travaux investiguent depuis 15 ans l'investissement responsable et la responsabilité sociale des entreprises (RSE).