La France d'après. Rebondir après la crise
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- Nombre de pages339
- PrésentationBroché
- Poids0.365 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-915879-90-2
- EAN9782915879902
- Date de parution12/05/2011
- ÉditeurLes Petits Matins
Résumé
La France et l'Europe ont subi un choc majeur qui alimente le pessimisme pour l'avenir. Pourtant, le pire n'est inéluctable ni en France ni en Europe. L'ampleur de la crise sur le Vieux Continent s'explique surtout par la mauvaise organisation de l'Union : si nous étions capables de sortir, enfin, de la concurrence de tous contre tous, notamment pour engager ensemble la conversion écologique de nos économies, nous pourrions continuer à vivre décemment.
Au sein de cette Europe mal organisée, explique l'auteur, la France n'a pas, contrairement à l'Allemagne, alimenté les déséquilibres qui menacent l'euro et elle a mieux résisté que les autres à la crise. Chômage, industrie, dette publique, inégalités : les problèmes auxquels l'Hexagone est confronté sont cependant considérables. Mais si, sans chercher à imiter un "modèle allemand" inadapté, les Français prennent, enfin, au sérieux leur discours égalitaire et évoluent vers une "démocratie complexe" associant véritablement les corps intermédiaires aux grands choix du pays, ils pourront se remettre à espérer un avenir meilleur.
Au sein de cette Europe mal organisée, explique l'auteur, la France n'a pas, contrairement à l'Allemagne, alimenté les déséquilibres qui menacent l'euro et elle a mieux résisté que les autres à la crise. Chômage, industrie, dette publique, inégalités : les problèmes auxquels l'Hexagone est confronté sont cependant considérables. Mais si, sans chercher à imiter un "modèle allemand" inadapté, les Français prennent, enfin, au sérieux leur discours égalitaire et évoluent vers une "démocratie complexe" associant véritablement les corps intermédiaires aux grands choix du pays, ils pourront se remettre à espérer un avenir meilleur.
La France et l'Europe ont subi un choc majeur qui alimente le pessimisme pour l'avenir. Pourtant, le pire n'est inéluctable ni en France ni en Europe. L'ampleur de la crise sur le Vieux Continent s'explique surtout par la mauvaise organisation de l'Union : si nous étions capables de sortir, enfin, de la concurrence de tous contre tous, notamment pour engager ensemble la conversion écologique de nos économies, nous pourrions continuer à vivre décemment.
Au sein de cette Europe mal organisée, explique l'auteur, la France n'a pas, contrairement à l'Allemagne, alimenté les déséquilibres qui menacent l'euro et elle a mieux résisté que les autres à la crise. Chômage, industrie, dette publique, inégalités : les problèmes auxquels l'Hexagone est confronté sont cependant considérables. Mais si, sans chercher à imiter un "modèle allemand" inadapté, les Français prennent, enfin, au sérieux leur discours égalitaire et évoluent vers une "démocratie complexe" associant véritablement les corps intermédiaires aux grands choix du pays, ils pourront se remettre à espérer un avenir meilleur.
Au sein de cette Europe mal organisée, explique l'auteur, la France n'a pas, contrairement à l'Allemagne, alimenté les déséquilibres qui menacent l'euro et elle a mieux résisté que les autres à la crise. Chômage, industrie, dette publique, inégalités : les problèmes auxquels l'Hexagone est confronté sont cependant considérables. Mais si, sans chercher à imiter un "modèle allemand" inadapté, les Français prennent, enfin, au sérieux leur discours égalitaire et évoluent vers une "démocratie complexe" associant véritablement les corps intermédiaires aux grands choix du pays, ils pourront se remettre à espérer un avenir meilleur.