La fortune des rois. Train de vie, patrimoine et investissements princiers
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- Nombre de pages300
- PrésentationBroché
- Poids0.38 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-84736-635-8
- EAN9782847366358
- Date de parution24/11/2011
- ÉditeurNouveau Monde
Résumé
Attention, sujet tabou ! Aujourd'hui, 15 % des Etats de la
planète sont toujours régis par des monarques. Mais qui sait à
quel point ces rois, princes, émirs et sultans sont riches ? Que
le roi de Thaïlande "pèse" 21 milliards d'euros, le sultan du
Brunei 14 milliards, le roi d'Arabie 13 milliards et même le
souverain du microscopique Liechtenstein 3 milliards ? Que
Mohammed VI du Maroc, qui pose au "roi des pauvres", ne
cesse de s'enrichir grâce aux phosphates ? Ou que la reine des
Pays-Bas, qui aurait perdu près de 100 millions dans le
scandale Madoff, possède encore 150 millions d'euros et
perçoit chaque année une liste civile de 38 millions ainsi qu'un
"salaire" de 850 000 euros ? Pour la première fois, une enquête
fouillée apporte un nouvel éclairage sur la fortune des
monarques : leurs revenus officiels et ceux qui le sont moins,
leur patrimoine, leurs privilèges, notamment fiscaux, et leur
train de vie.
Ses conclusions sont édifiantes. Même s'ils s'en défendent et ne font guère assaut de transparence, les princes et leurs familles sont de mieux en mieux rémunérés, sans être évalués sur leurs prestations. Biens mobiliers, propriétés foncières, rente pétrolière, portefeuille boursier et participations bancaires : leur fortune prospère de jour en jour. Si tous ne versent pas dans l'affairisme, tous aiment l'argent : sport, communication, culture ou aide au développement, tout leur rapporte.
Luxe et privilèges finissent par tourner à l'obsession au point de brouiller leur image et de menacer leur position. Est-il encore temps de redresser la barre ou la monarchie s'est-elle définitivement dissoute dans le grand capital ?
Ses conclusions sont édifiantes. Même s'ils s'en défendent et ne font guère assaut de transparence, les princes et leurs familles sont de mieux en mieux rémunérés, sans être évalués sur leurs prestations. Biens mobiliers, propriétés foncières, rente pétrolière, portefeuille boursier et participations bancaires : leur fortune prospère de jour en jour. Si tous ne versent pas dans l'affairisme, tous aiment l'argent : sport, communication, culture ou aide au développement, tout leur rapporte.
Luxe et privilèges finissent par tourner à l'obsession au point de brouiller leur image et de menacer leur position. Est-il encore temps de redresser la barre ou la monarchie s'est-elle définitivement dissoute dans le grand capital ?
Attention, sujet tabou ! Aujourd'hui, 15 % des Etats de la
planète sont toujours régis par des monarques. Mais qui sait à
quel point ces rois, princes, émirs et sultans sont riches ? Que
le roi de Thaïlande "pèse" 21 milliards d'euros, le sultan du
Brunei 14 milliards, le roi d'Arabie 13 milliards et même le
souverain du microscopique Liechtenstein 3 milliards ? Que
Mohammed VI du Maroc, qui pose au "roi des pauvres", ne
cesse de s'enrichir grâce aux phosphates ? Ou que la reine des
Pays-Bas, qui aurait perdu près de 100 millions dans le
scandale Madoff, possède encore 150 millions d'euros et
perçoit chaque année une liste civile de 38 millions ainsi qu'un
"salaire" de 850 000 euros ? Pour la première fois, une enquête
fouillée apporte un nouvel éclairage sur la fortune des
monarques : leurs revenus officiels et ceux qui le sont moins,
leur patrimoine, leurs privilèges, notamment fiscaux, et leur
train de vie.
Ses conclusions sont édifiantes. Même s'ils s'en défendent et ne font guère assaut de transparence, les princes et leurs familles sont de mieux en mieux rémunérés, sans être évalués sur leurs prestations. Biens mobiliers, propriétés foncières, rente pétrolière, portefeuille boursier et participations bancaires : leur fortune prospère de jour en jour. Si tous ne versent pas dans l'affairisme, tous aiment l'argent : sport, communication, culture ou aide au développement, tout leur rapporte.
Luxe et privilèges finissent par tourner à l'obsession au point de brouiller leur image et de menacer leur position. Est-il encore temps de redresser la barre ou la monarchie s'est-elle définitivement dissoute dans le grand capital ?
Ses conclusions sont édifiantes. Même s'ils s'en défendent et ne font guère assaut de transparence, les princes et leurs familles sont de mieux en mieux rémunérés, sans être évalués sur leurs prestations. Biens mobiliers, propriétés foncières, rente pétrolière, portefeuille boursier et participations bancaires : leur fortune prospère de jour en jour. Si tous ne versent pas dans l'affairisme, tous aiment l'argent : sport, communication, culture ou aide au développement, tout leur rapporte.
Luxe et privilèges finissent par tourner à l'obsession au point de brouiller leur image et de menacer leur position. Est-il encore temps de redresser la barre ou la monarchie s'est-elle définitivement dissoute dans le grand capital ?