Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Une forme arrive, se trace, se forme, emportant avec elle la formation du monde lui-même: c'est tout l'enjeu de ce que la tradition appelle le "beau"...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 24 septembre et le 26 septembre
En librairie
Résumé
Une forme arrive, se trace, se forme, emportant avec elle la formation du monde lui-même: c'est tout l'enjeu de ce que la tradition appelle le "beau" et le "sublime". Pour comprendre cela, il ne suffit pas d'interroger les conditions transcendantales d'une réceptivité sensible, celles que Kant appelait "formes pures de l'intuition" (l'espace et le temps). Il faut aussi décrire la formation de ces formes pures elles-mêmes, qui a lieu à même ce qui, soudain, arrive, se trace, se forme, c'est-à-dire dans l'acte - à vrai dire pure passion - où la sensibilité commence. L'analyse de l'appréhension esthétique de l'espace-temps dans le beau et de sa dévastation dans la présentation sublime; la caractérisation de l'intensité comme limite - à savoir comme réel se posant sur le fond de sa propre négation - qui n'est pas homogène à la forme du sens interne (le temps comme "succession") ; et, finalement, la description de la libre position de la chose qui, en soi, n'est rien d'autre que ce qui se donne (le phénomène) : voilà la triple tâche de ce travail qui se consacre à éclairer les présupposés de l'esthétique critique de Kant en vue d'interroger l'origine de la sensibilité pure.