La force du nom. Leur nom, ils l'ont changé

Par : Céline Masson, Michel Gad Wolkowicz

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  • Nombre de pages484
  • PrésentationBroché
  • Poids0.735 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,3 cm × 3,8 cm
  • ISBN978-2-220-06231-0
  • EAN9782220062310
  • Date de parution28/10/2010
  • CollectionEspaces du Sujet
  • ÉditeurDDB

Résumé

A l'instar des visages, les noms nous identifient, ils portent l'histoire des ancêtres et se portent, voire se transportent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit de famille. Les noms " collent à la peau " et à vouloir s'en séparer, ils reviennent comme des signifiants de l'origine. Dans la tradition juive, le nom apparaît comme vecteur de sens. Le premier acte d'Adam, écrit la Genèse, est de nommer tous les animaux et tous les oiseaux que Dieu avaient créés, puis de nommer sa femme Eve.
A faire la route (de l'exil), nombreux sont les juifs qui ont changé un " nom à coucher dehors " car ce nom, parfois difficilement prononçable, les identifiait comme venant d'ailleurs, risquant de freiner leur intégration et leur promotion sociale. Avec l'espoir que franciser son nom pourrait éviter de nouvelles persécutions. Comment les noms nous identifient-ils ? De quels lieux sont-ils l'écho ? De quelle manière nous approprions-nous nos noms ? Et quel regard les autres portent-ils, au fond, sur notre patronyme ?
A l'instar des visages, les noms nous identifient, ils portent l'histoire des ancêtres et se portent, voire se transportent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit de famille. Les noms " collent à la peau " et à vouloir s'en séparer, ils reviennent comme des signifiants de l'origine. Dans la tradition juive, le nom apparaît comme vecteur de sens. Le premier acte d'Adam, écrit la Genèse, est de nommer tous les animaux et tous les oiseaux que Dieu avaient créés, puis de nommer sa femme Eve.
A faire la route (de l'exil), nombreux sont les juifs qui ont changé un " nom à coucher dehors " car ce nom, parfois difficilement prononçable, les identifiait comme venant d'ailleurs, risquant de freiner leur intégration et leur promotion sociale. Avec l'espoir que franciser son nom pourrait éviter de nouvelles persécutions. Comment les noms nous identifient-ils ? De quels lieux sont-ils l'écho ? De quelle manière nous approprions-nous nos noms ? Et quel regard les autres portent-ils, au fond, sur notre patronyme ?