La fontaine des Innocents. Histoire d'un chef-d'oeuvre parisien

Par : Valérie Guillaume, Véronique Milande, Emmanuelle Philippe, Sophie Picot-Bocquillon, Juliette Tanré-Szewczyk

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  • Nombre de pages207
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.63 kg
  • Dimensions18,0 cm × 25,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7596-0581-1
  • EAN9782759605811
  • Date de parution29/05/2024
  • ÉditeurParis Musées

Résumé

L'histoire architecturale de la fontaine des Innocents est intimement liée à celles de l'urbanisme parisien et de son évolution au cours des siècles. C'est au Moyen Age que l'une des premières fontaines publiques de Paris est offerte aux habitants du quartier environnant l'église des Saints-Innocents. En 1549, elle est remplacée par un nouveau monument dévoilé lors de l'entrée royale d'Henri II à Paris, orné de reliefs de Jean Goujon et conçu comme une ode à l'eau sous toutes ses formes.
Cette fontaine est immédiatement reconnue comme un chef-d'oeuvre de la Renaissance, jalon exceptionnel de l'histoire de l'art français. Au fil des siècles, elle ne cesse d'inspirer les artistes. Ingres, Barye, Carpeaux, Doisneau, Atget ou encore Cartier-Bresson, tous ont puisé à la source. Complétée par Augustin Pajou à la fin des années 1780, elle est reconstruite au centre du marché des Innocents dont elle devient le coeur battant tout au long de la première moitié du XIXe siècle.
Le quartier se recompose à la fin des années 1850, suite à la construction des halles. Déplacée et remaniée par l'architecte Gabriel Davioud - l'un des artisans de la transformation de Paris orchestrée par le baron Haussmann -, classée monument historique en 1862, la fontaine des Innocents est emblématique du quartier des Halles. A l'occasion de sa restauration et du réaménagement de la place Joachim-du-Bellay, Paris célèbre la beauté retrouvée de sa "fontaine aux Nymphes".
L'histoire architecturale de la fontaine des Innocents est intimement liée à celles de l'urbanisme parisien et de son évolution au cours des siècles. C'est au Moyen Age que l'une des premières fontaines publiques de Paris est offerte aux habitants du quartier environnant l'église des Saints-Innocents. En 1549, elle est remplacée par un nouveau monument dévoilé lors de l'entrée royale d'Henri II à Paris, orné de reliefs de Jean Goujon et conçu comme une ode à l'eau sous toutes ses formes.
Cette fontaine est immédiatement reconnue comme un chef-d'oeuvre de la Renaissance, jalon exceptionnel de l'histoire de l'art français. Au fil des siècles, elle ne cesse d'inspirer les artistes. Ingres, Barye, Carpeaux, Doisneau, Atget ou encore Cartier-Bresson, tous ont puisé à la source. Complétée par Augustin Pajou à la fin des années 1780, elle est reconstruite au centre du marché des Innocents dont elle devient le coeur battant tout au long de la première moitié du XIXe siècle.
Le quartier se recompose à la fin des années 1850, suite à la construction des halles. Déplacée et remaniée par l'architecte Gabriel Davioud - l'un des artisans de la transformation de Paris orchestrée par le baron Haussmann -, classée monument historique en 1862, la fontaine des Innocents est emblématique du quartier des Halles. A l'occasion de sa restauration et du réaménagement de la place Joachim-du-Bellay, Paris célèbre la beauté retrouvée de sa "fontaine aux Nymphes".
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