La critique historique, disait-on naguère, est une méthode scientifique destinée à distinguer le vrai du faux. Ainsi se trouvait rejeté dans le néant de la légende tout ce que les textes antiques nous disent des commencements de Rome, de ses mythes et de sa fondation.
Or, depuis quelques années, des découvertes archéologiques sont venues remettre en cause cette ligne de partage. Le moment est donc venu de redécouvrir ces vieilles légendes, vraies d'une vérité qui n'est celle ni de l'histoire positiviste, ni de l'archétype indo-européen conçu par Dumézil.
Cette analyse de la fondation de Rome aboutit alors à un discours sur l'histoire, montrant que les origines de la ville, objet depuis plusieurs siècles d'un effort ininterrompu d'exégèse, constituent un lieu de réflexion où se dévoile la double question qui est celle de toute science humaine : qu'est-ce que croire, qu'est-ce que savoir ?
La critique historique, disait-on naguère, est une méthode scientifique destinée à distinguer le vrai du faux. Ainsi se trouvait rejeté dans le néant de la légende tout ce que les textes antiques nous disent des commencements de Rome, de ses mythes et de sa fondation.
Or, depuis quelques années, des découvertes archéologiques sont venues remettre en cause cette ligne de partage. Le moment est donc venu de redécouvrir ces vieilles légendes, vraies d'une vérité qui n'est celle ni de l'histoire positiviste, ni de l'archétype indo-européen conçu par Dumézil.
Cette analyse de la fondation de Rome aboutit alors à un discours sur l'histoire, montrant que les origines de la ville, objet depuis plusieurs siècles d'un effort ininterrompu d'exégèse, constituent un lieu de réflexion où se dévoile la double question qui est celle de toute science humaine : qu'est-ce que croire, qu'est-ce que savoir ?