La fiscalité dans le judaïsme ancien (VIe s. av. J.-C. - IIe s. apr. J.-C.)

Par : Michaël Girardin
    • Nombre de pages190
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.34 kg
    • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
    • ISBN978-2-7053-4054-4
    • EAN9782705340544
    • Date de parution01/01/2020
    • CollectionCulture archéologique du judaï
    • ÉditeurGeuthner (Paul)
    • PréfacierDavid Hamidovic

    Résumé

    " Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu " : cette phrase bien connue des Evangiles s'éclaire d'un jour nouveau à mesure que se poursuivent les enquêtes historiques portant sur la fiscalité en Judée du tournant de notre ère. Cette première synthèse complète sur la fiscalité de Judée invite à se demander si cette matière froide et technique ne serait pas, au contraire, une matière brûlante, " éveilleur de révoltes ", à la fois un reflet et un condensé des complexités économiques, politiques, sociales voire théologiques ? Quels sont les impôts prélevés ? Quels sont les moyens de paiement ? Est-il vrai que le temple de Jérusalem n'acceptait que les shekels de Tyr ? Pourquoi l'impôt romain dérangeait-il les contemporains de Jésus ? Quelle est la place des relations financières dans l'histoire politique de la Judée ? Ces questions, parmi tant d'autres, reçoivent ici une réponse à la fois à jour des découvertes les plus récentes et accessible au public spécialiste autant que curieux.
    " Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu " : cette phrase bien connue des Evangiles s'éclaire d'un jour nouveau à mesure que se poursuivent les enquêtes historiques portant sur la fiscalité en Judée du tournant de notre ère. Cette première synthèse complète sur la fiscalité de Judée invite à se demander si cette matière froide et technique ne serait pas, au contraire, une matière brûlante, " éveilleur de révoltes ", à la fois un reflet et un condensé des complexités économiques, politiques, sociales voire théologiques ? Quels sont les impôts prélevés ? Quels sont les moyens de paiement ? Est-il vrai que le temple de Jérusalem n'acceptait que les shekels de Tyr ? Pourquoi l'impôt romain dérangeait-il les contemporains de Jésus ? Quelle est la place des relations financières dans l'histoire politique de la Judée ? Ces questions, parmi tant d'autres, reçoivent ici une réponse à la fois à jour des découvertes les plus récentes et accessible au public spécialiste autant que curieux.