La fin des hypermarchés ?. Vers une redistributrion de la grande distribution

Par : Jean-Louis Martinez
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  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.675 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-87403-501-2
  • EAN9782874035012
  • Date de parution26/06/2018
  • CollectionKnoWay !
  • ÉditeurLa Charte

Résumé

La fin des hypermarchés ? Dernièrement, on entend les grands distributeurs parler de réinvention et de réenchantement des hypers. Un chant du cygne ? La question se pose car voilà plusieurs années que les courbes de profit plongent dans un abîme sans fond malgré le retour aux fondamentaux : promos sur promos. De fait, les distributeurs envisagent la réallocation de leurs espaces. Traduction : la réduction de leurs surfaces commerciales.
Que s'est-il donc passé ? Le consommateur est devenu de plus en plus insensible à la mise en avant d'"avantages qui n'en sont pas". Si la carte de fidélité joue toujours son rôle, le client se sent de plus en plus aigri par le manque de reconnaissance du distributeur à son égard, voire même courroucé par les marges que s'octroient grandes et moyennes surfaces au détriment d'une juste rétribution des agriculteurs.
Bienvenue aux circuits courts et à l'alimentation militante ! Clairement, les temps ont changé. Les mots clés du jour pour faire acheter ? Smartphone, nomadisme, géolocalisation, tracking... Une nouvelle génération aux comportements d'achat erratiques - les digital natives - a entraîné dans son sillage l'arrivée des pure players, comme le géant américain Amazon, avec des formules révolutionnaires telles que le club entrepôt, hybride à mi-chemin entre l'hypermarché et le grossiste, mais ouvert à tous.
Vivons-nous donc la fin des hypermarchés ? Tel qu'on les connaît, sans doute : les formats actuels de fidélisation et de MDD sont à revisiter. Toutefois, nous devrons bien continuer d'aller chercher et/ou de faire venir nos biens de consommation. A cet égard, la mutation a déjà débuté : les succès du drive et du digital dans les grandes zones urbaines laissent présager une redistribution de la (grande) distribution.
Découvrez-la dans ces pages.
La fin des hypermarchés ? Dernièrement, on entend les grands distributeurs parler de réinvention et de réenchantement des hypers. Un chant du cygne ? La question se pose car voilà plusieurs années que les courbes de profit plongent dans un abîme sans fond malgré le retour aux fondamentaux : promos sur promos. De fait, les distributeurs envisagent la réallocation de leurs espaces. Traduction : la réduction de leurs surfaces commerciales.
Que s'est-il donc passé ? Le consommateur est devenu de plus en plus insensible à la mise en avant d'"avantages qui n'en sont pas". Si la carte de fidélité joue toujours son rôle, le client se sent de plus en plus aigri par le manque de reconnaissance du distributeur à son égard, voire même courroucé par les marges que s'octroient grandes et moyennes surfaces au détriment d'une juste rétribution des agriculteurs.
Bienvenue aux circuits courts et à l'alimentation militante ! Clairement, les temps ont changé. Les mots clés du jour pour faire acheter ? Smartphone, nomadisme, géolocalisation, tracking... Une nouvelle génération aux comportements d'achat erratiques - les digital natives - a entraîné dans son sillage l'arrivée des pure players, comme le géant américain Amazon, avec des formules révolutionnaires telles que le club entrepôt, hybride à mi-chemin entre l'hypermarché et le grossiste, mais ouvert à tous.
Vivons-nous donc la fin des hypermarchés ? Tel qu'on les connaît, sans doute : les formats actuels de fidélisation et de MDD sont à revisiter. Toutefois, nous devrons bien continuer d'aller chercher et/ou de faire venir nos biens de consommation. A cet égard, la mutation a déjà débuté : les succès du drive et du digital dans les grandes zones urbaines laissent présager une redistribution de la (grande) distribution.
Découvrez-la dans ces pages.