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La fin de l'âge d'or du dollar ?
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- Poids0.25 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-96581-2
- EAN9782296965812
- Date de parution27/09/2012
- CollectionQuestions contemporaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Alors que Bretton Woods, son œuvre, a fait de l'équilibre courant la règle, l'Amérique se délie un quart de siècle plus tard, révoquant d'abord la convertibilité du Dollar et ensuite la stabilité des changes. Sa politique monétaire a été plus une manifestation de puissance que l'application de la théorie monétariste au service de la création des richesses. En particulier les "19 glorieuses" d'A. Greenspan auront été fatales pour l'Amérique : déclin industriel, déséquilibre extérieur-abyssal et finances publiques en perdition.
L'idéologie a été servie, pas l'Amérique qui s'appauvrit. La révolution financière a été indispensable à la révolution industrielle. Les excès de la spéculation financière ignorés par les autorités risquent de sonner le glas pour la suprématie économique de l'Amérique. La Fed finit par avouer que la liquidité illimitée gratuite ne peut rien pour l'emploi.
L'idéologie a été servie, pas l'Amérique qui s'appauvrit. La révolution financière a été indispensable à la révolution industrielle. Les excès de la spéculation financière ignorés par les autorités risquent de sonner le glas pour la suprématie économique de l'Amérique. La Fed finit par avouer que la liquidité illimitée gratuite ne peut rien pour l'emploi.
Alors que Bretton Woods, son œuvre, a fait de l'équilibre courant la règle, l'Amérique se délie un quart de siècle plus tard, révoquant d'abord la convertibilité du Dollar et ensuite la stabilité des changes. Sa politique monétaire a été plus une manifestation de puissance que l'application de la théorie monétariste au service de la création des richesses. En particulier les "19 glorieuses" d'A. Greenspan auront été fatales pour l'Amérique : déclin industriel, déséquilibre extérieur-abyssal et finances publiques en perdition.
L'idéologie a été servie, pas l'Amérique qui s'appauvrit. La révolution financière a été indispensable à la révolution industrielle. Les excès de la spéculation financière ignorés par les autorités risquent de sonner le glas pour la suprématie économique de l'Amérique. La Fed finit par avouer que la liquidité illimitée gratuite ne peut rien pour l'emploi.
L'idéologie a été servie, pas l'Amérique qui s'appauvrit. La révolution financière a été indispensable à la révolution industrielle. Les excès de la spéculation financière ignorés par les autorités risquent de sonner le glas pour la suprématie économique de l'Amérique. La Fed finit par avouer que la liquidité illimitée gratuite ne peut rien pour l'emploi.
