La fin d'un monde ?. Essai sur la déraison naturaliste
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- Nombre de pages222
- PrésentationBroché
- Poids0.306 kg
- Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-7535-3265-6
- EAN9782753532656
- Date de parution05/05/2014
- CollectionEssais
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
Cet essai part du constat largement admis selon lequel nous aurions affaire aujourd'hui à une profonde transformation de notre société entraînant une crise de nos repères. Cette transformation se traduit par des phénomènes n'ayant, de prime abord, aucun lien entre eux, tels que les problèmes d'autorité, les pratiques d'hyperconsommation, l'affadissement du conflit, la généralisation de modèles gestionnaires et managériaux de "gouvernance", la tendance à la négation de l'histoire, la recherche à tout prix de la transparence, la délégitimation du politique, etc.
Se distinguant d'une analyse historique, les deux auteurs adoptent un point de vue anthropologique, pour éclairer ces changements et leur donner une unité de sens. Ils posent, notamment, l'hypothèse d'un glissement de la frontière entre nature et culture, glissement qui altérerait notre rapport au monde. Nous inclinerions ainsi vers une immédiateté se traduisant par un délitement de l'identité et de la responsabilité, la transformation de notre appréhension de l'espace et de l'histoire et une emprise plus forte de l'instinctif et du pulsionnel dans nos relations sociales.
Se distinguant d'une analyse historique, les deux auteurs adoptent un point de vue anthropologique, pour éclairer ces changements et leur donner une unité de sens. Ils posent, notamment, l'hypothèse d'un glissement de la frontière entre nature et culture, glissement qui altérerait notre rapport au monde. Nous inclinerions ainsi vers une immédiateté se traduisant par un délitement de l'identité et de la responsabilité, la transformation de notre appréhension de l'espace et de l'histoire et une emprise plus forte de l'instinctif et du pulsionnel dans nos relations sociales.
Cet essai part du constat largement admis selon lequel nous aurions affaire aujourd'hui à une profonde transformation de notre société entraînant une crise de nos repères. Cette transformation se traduit par des phénomènes n'ayant, de prime abord, aucun lien entre eux, tels que les problèmes d'autorité, les pratiques d'hyperconsommation, l'affadissement du conflit, la généralisation de modèles gestionnaires et managériaux de "gouvernance", la tendance à la négation de l'histoire, la recherche à tout prix de la transparence, la délégitimation du politique, etc.
Se distinguant d'une analyse historique, les deux auteurs adoptent un point de vue anthropologique, pour éclairer ces changements et leur donner une unité de sens. Ils posent, notamment, l'hypothèse d'un glissement de la frontière entre nature et culture, glissement qui altérerait notre rapport au monde. Nous inclinerions ainsi vers une immédiateté se traduisant par un délitement de l'identité et de la responsabilité, la transformation de notre appréhension de l'espace et de l'histoire et une emprise plus forte de l'instinctif et du pulsionnel dans nos relations sociales.
Se distinguant d'une analyse historique, les deux auteurs adoptent un point de vue anthropologique, pour éclairer ces changements et leur donner une unité de sens. Ils posent, notamment, l'hypothèse d'un glissement de la frontière entre nature et culture, glissement qui altérerait notre rapport au monde. Nous inclinerions ainsi vers une immédiateté se traduisant par un délitement de l'identité et de la responsabilité, la transformation de notre appréhension de l'espace et de l'histoire et une emprise plus forte de l'instinctif et du pulsionnel dans nos relations sociales.