La fille du condamné à mort

Par : Carine Fernandez

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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • Poids0.156 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-35577-368-6
  • EAN9782355773686
  • Date de parution18/07/2025
  • CollectionNoces
  • ÉditeurRUMEUR LIBRE

Résumé

La fille du condamné à mort, un titre à prendre à la lettre. C'est du versant descendant de sa vie que Carine Fernandez se penche sur ce qu'elle avait toujours rejeté avec l'intransigeance de la jeunesse : la relation au père, aux ancêtres et à la mort. Longtemps après sa disparition, elle découvre la vérité sur ce père, le républicain espagnol exilé ; figure du commandeur qui l'avait poussée à la fugue.
Lui parvient ce document terrible : le jugement du tribunal militaire en 1939. La sentence de mort à vingt ans. Il s'évadera, il vivra, il aura une fille qui apprendra trop tard qu'elle est la fille du condamné à mort. Elle écrira des poèmes, comme il en écrivit dans sa cellule, en attendant l'exécution. Elle a reçu ce legs : la poésie et la mort. La poésie est transmission, comme la révolte et la tragédie, peut-être passe-t-elle aussi par le sang.
La mémoire des ancêtres, qui continuent de vivre en nous, qui regardent avec nos yeux la lumière d'un monde qui s'éteindra si on ne l'écrit pas. Ce recueil comme le sang qui pulse d'une génération à l'autre, force génétique du poème.
La fille du condamné à mort, un titre à prendre à la lettre. C'est du versant descendant de sa vie que Carine Fernandez se penche sur ce qu'elle avait toujours rejeté avec l'intransigeance de la jeunesse : la relation au père, aux ancêtres et à la mort. Longtemps après sa disparition, elle découvre la vérité sur ce père, le républicain espagnol exilé ; figure du commandeur qui l'avait poussée à la fugue.
Lui parvient ce document terrible : le jugement du tribunal militaire en 1939. La sentence de mort à vingt ans. Il s'évadera, il vivra, il aura une fille qui apprendra trop tard qu'elle est la fille du condamné à mort. Elle écrira des poèmes, comme il en écrivit dans sa cellule, en attendant l'exécution. Elle a reçu ce legs : la poésie et la mort. La poésie est transmission, comme la révolte et la tragédie, peut-être passe-t-elle aussi par le sang.
La mémoire des ancêtres, qui continuent de vivre en nous, qui regardent avec nos yeux la lumière d'un monde qui s'éteindra si on ne l'écrit pas. Ce recueil comme le sang qui pulse d'une génération à l'autre, force génétique du poème.