La figure du loser. Dans le film et la littérature d'expression française

Par : Françoise Cévaër, Lyonel Trouillot
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  • Nombre de pages176
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.242 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-84287-723-1
  • EAN9782842877231
  • Date de parution30/11/2018
  • CollectionL'un et l'autre en français
  • ÉditeurPULIM

Résumé

A l'écran comme à l'écrit, la figure du perdant revêt une multitude de visages : personnage sur le retour, individu fané à la popularité toutefois vive ; acteur victime d'un destin fracassé devenu icône par-delà son époque ; parents ou enfants rebelles, reflets d'une société hiérarchisée en couches sociales bien définies ; poète renégat donc hors norme qui dénonce les excès de la société de consommation ou poète catalyseur d'une société postcoloniale qui défie tous les malheurs ; enfin, écrivain qui se refuse à accepter la gravité de la maladie...
Ces perdants pourtant si distincts les uns des autres assument leur singularité ou, au contraire, succombent sous le poids du fardeau de leur destinée. Nécessaire à l'éventail des maillons de toute société, le perdant, toujours hors du commun, remet en question, rééquilibre, problématise ou dédramatise le quotidien pour interpeler, réveiller ou culpabiliser l'homme ordinaire qui le châtie ou le sublime parfois.
A l'écran comme à l'écrit, la figure du perdant revêt une multitude de visages : personnage sur le retour, individu fané à la popularité toutefois vive ; acteur victime d'un destin fracassé devenu icône par-delà son époque ; parents ou enfants rebelles, reflets d'une société hiérarchisée en couches sociales bien définies ; poète renégat donc hors norme qui dénonce les excès de la société de consommation ou poète catalyseur d'une société postcoloniale qui défie tous les malheurs ; enfin, écrivain qui se refuse à accepter la gravité de la maladie...
Ces perdants pourtant si distincts les uns des autres assument leur singularité ou, au contraire, succombent sous le poids du fardeau de leur destinée. Nécessaire à l'éventail des maillons de toute société, le perdant, toujours hors du commun, remet en question, rééquilibre, problématise ou dédramatise le quotidien pour interpeler, réveiller ou culpabiliser l'homme ordinaire qui le châtie ou le sublime parfois.